Madame Lefort complète sa retraite en louant une chambre de son appartement aux voyageurs de passage, en pension ou demi-pension. Habituellement, ces locataires restent deux ou trois jours. Et là, un homme se présente, qui prolonge son séjour de manière inhabituelle. Qui est-il ? Qu’est-il venu faire ici ? Quel est son secret ? Et celui de Madame Lefort ?

Les souvenirs évoqués des bouleversements provoqués par les événements de mai 1968.

Adaptation du roman de Jean Teulé, cette pièce jouée et chantée fait le récit bouleversant de la vie d'une femme sur laquelle le sort s'acharne. Une remarquable performance de la comédienne Claudine Van Benede qui excelle dans ce rôle à fleur de peau, entre autodérision et violence des situations vécues.

Vous souvenez-vous du combat exemplaire des ouvrières de Lejaby, cette entreprise de sous-vêtements qui a déposé le bilan en 2012 ? Claudine Van Beneden a demandé à Carole Thibaut de récolter leurs paroles sur le terrain pour écrire cette pièce. Dans le cadre du festival Paroles Citoyennes.

On pourrait penser que le titre dit tout de ce texte : pensée et message politiques, bilan des années passées, proposition de nouvelles perspectives pour l’avenir. Il en est question, bien sûr. Mais cette présidente n’est pas une femme politique ordinaire.

Vous souvenez-vous du combat exemplaire des ouvrières de Lejaby, cette entreprise de sous-vêtements qui a déposé le bilan en 2012 ? Claudine Van Beneden a demandé à Carole Thibaut de récolter leurs paroles sur le terrain pour écrire cette pièce. Dans le cadre du festival Paroles Citoyennes.

Liées par un étrange serment, deux soeurs vivent en huis clos chez elles. Elles partagent avec tendresse, humour et férocité, leurs souvenirs, leurs rêves et leurs craintes.

Anne-Marie, ardente, fière et téméraire, prend le voile dans une congrégation religieuse accueillant les détenues libérées après leur peine et s’évertue à aider l’une d’entre elles, Thérèse. Cette dernière, une fois libérée, assassine celui qui fut la cause de son incarcération, puis vient se cacher au couvent.

Ça s’appelait « Chez Henriette et Roger ». Roger est mort. L’épicerie aussi. Il ne reste plus qu’Henriette, vivante, là, dans les orties, prèsde sa chienne. Elle a basculé. Elle résiste.