Christian Kiappe

Christian Kiappe

Christian Kiappe a participé à des ateliers de théâtre avec Muriel Mayette, Philippe Joris. Il a suivi en 1996-1997 un stage avec Redjep Mitrovitsa au cours Florent. Il a été élève-stagiaire pendant un an à la Comédie Française où il a joué sous la direction de Muriel Mayette dans Clitandre de Corneille ; de Jean-Pierre Miquel dans Les Fausses Confidences de Marivaux. Il joue avec Philippe Calvario dans Ma Solange, comment t’écrire mon désastre de Noëlle Renaude et participe à la création de Et maintenant le silence ? au Festival International de Théâtre Étudiant à Nanterre-Amandiers.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Christian Kiappe

Cymbeline

Criée, Marseille

du 18 au 26 oct. 2001
CLASSIQUE Terminé
  • De : William Shakespeare
  • Avec : Céline Carrère, Ariane Crochet, Philippe Goin, Christian Kiappe, Régis Laroche, Lola Accardi, Jean-Claude Jay, Erik Krüger, Bénédicte Pardijon, Stéphane Metzger, Sophie Tellier, Fabrice Bénard
Cymbeline est un chaos, une pièce hybride qui marque le changement d’un millénaire : un monde de transition et décadences. Elle demeure un mystère mais reste proche des contes de fées de notre enfance.
Cymbeline

Nanterre - Amandiers, Nanterre

du 14 nov. au 10 déc. 2000
CLASSIQUE Terminé
  • De : William Shakespeare
  • Avec : Céline Carrère, Ariane Crochet, Philippe Goin, Christian Kiappe, Régis Laroche, Lola Accardi, Jean-Claude Jay, Erik Krüger, Bénédicte Pardijon, Stéphane Metzger, Sophie Tellier, Fabrice Bénard
Cymbeline est un chaos, une pièce hybride qui marque le changement d’un millénaire : un monde de transition et décadences. Elle demeure un mystère mais reste proche des contes de fées de notre enfance.
Et maintenant le silence ?

Théâtre de la Bastille, Paris

du 20 avr. au 13 mai 2000
CLASSIQUE Terminé
  • Avec : Christophe Brière, Ariane Crochet, Eléonore Denarié, Sylviane Duparc, Corinne Freitas, Philippe Goin, Julie Harnois, Christian Kiappe, Emmanuelle Maquat, Anthony Paliotti, Justine Pouvreau
Et maintenant le silence puisque ce sont les corps d'abord qu'on voit comme des photos instantanées. C'est comme regarder un tableau en mouvement : il y a du rouge, du violet, des fleurs dessinées sur les jupes des femmes. Les corps sont libres, dénudés comme s'ils étaient mis à nus pour voir l'âme.