Velvet, c’est le velours enveloppant du théâtre, la matière textile de nos illusions. C’est aussi un voile que l’on peut soulever. En jouant avec les codes de la scène, Nathalie Béasse compose une fresque vivante, où l’âme des objets rayonne et les éléments scénographiques s’entrechoquent pour raconter une vision du monde.

Sur un plateau où la nature reprend ses droits, quatre protagonistes d’une même famille rassemblent leurs souvenirs. Ils échafaudent et défont des histoires, donnent vie à la matière par la grâce du mouvement.

Velvet, c’est le velours enveloppant du théâtre, la matière textile de nos illusions. C’est aussi un voile que l’on peut soulever. En jouant avec les codes de la scène, Nathalie Béasse compose une fresque vivante, où l’âme des objets rayonne et les éléments scénographiques s’entrechoquent pour raconter une vision du monde.

Après sept spectacles et une Occupation, la traversée artistique de Nathalie Béasse se poursuit au Théâtre de la Bastille. Dans cette nouvelle création, son univers ludique s’élargit encore : le son, les couleurs, les corps, la matière, l’espace… tout s’embrasse en une seule rêverie.

Depuis ses débuts, Nathalie Béasse invente sa propre écriture de plateau, à la frontière entre la danse, le théâtre et les arts plastiques. Avec Aux éclats…, il s’agira de provoquer le rire, d’aller jusqu’au bout, jusqu’aux larmes. Les trois interprètes de ce trio burlesque vont devoir faire face à toutes sortes de catastrophes, petites ou grandes.

Sur un plateau où la nature reprend ses droits, quatre protagonistes d’une même famille rassemblent leurs souvenirs. Ils échafaudent et défont des histoires, donnent vie à la matière par la grâce du mouvement.

Nathalie Béasse s'attaque à un terrain de mots géant : Shakespeare. Puisant dans son répertoire dramatique, elle retient Richard III et sa cruauté pour mettre en tension cette question : qui est Richard ? Au centre de la scène une table immense, comme un champ de bataille, comme un radeau où la fratrie dérive.

Sur un plateau où la nature reprend ses droits, quatre protagonistes d’une même famille rassemblent leurs souvenirs. Ils échafaudent et défont des histoires, donnent vie à la matière par la grâce du mouvement.

Nathalie Béasse s'attaque à un terrain de mots géant : Shakespeare. Puisant dans son répertoire dramatique, elle retient Richard III et sa cruauté pour mettre en tension cette question : qui est Richard ? Au centre de la scène une table immense, comme un champ de bataille, comme un radeau où la fratrie dérive.