Brazza – Ouidah – Saint-Denis est une double enquête sur le passé : celle de Melika, jeune femme française d’origine béninoise, qui découvre un jour que son grand-père était engagé volontaire aux côtés de la France en 39-45 et que rien de cette histoire ne lui a été transmis ; et celle de Luz, qui à l’occasion de recherches sur Brazzaville, capitale de la France Libre, découvre progressivement les implications de sa propre famille dans les conflits.

Qu’attendons-nous de la représentation de théâtre ? La Fonction du théâtre organise la rencontre entre plusieurs matériaux : témoignages d’acteurs, essais sur le théâtre, extraits de pièces. Une invitation à faire l’inventaire de nos attentes : quel théâtre désirons-nous ?

Le théâtre peut-il nous aider à comprendre les racines et la dynamique d’un conflit ? Luca Giacomoni a rencontré au Centre pénitentiaire de Meaux des hommes qui – par leur visage et leur corps – incarnaient à ses yeux les héros et les rois du mythe grec d'Homère. Une série théâtrale en dix épisodes.

Le théâtre peut-il nous aider à comprendre les racines et la dynamique d’un conflit ? Luca Giacomoni a rencontré au Centre pénitentiaire de Meaux des hommes qui – par leur visage et leur corps – incarnaient à ses yeux les héros et les rois du mythe grec d'Homère. Une série théâtrale en dix épisodes.

Le théâtre peut-il nous aider à comprendre les racines et la dynamique d’un conflit ? Luca Giacomoni a rencontré au Centre pénitentiaire de Meaux des hommes qui – par leur visage et leur corps – incarnaient à ses yeux les héros et les rois du mythe grec d'Homère. Une série théâtrale en dix épisodes.

Le théâtre peut-il nous aider à comprendre les racines et la dynamique d’un conflit ? Luca Giacomoni a rencontré au Centre pénitentiaire de Meaux des hommes qui – par leur visage et leur corps – incarnaient à ses yeux les héros et les rois du mythe grec d'Homère. Une série théâtrale en dix épisodes.

Dans la Russie des soviets : Shakespeare, c’est gai, c’est beau, ça parle d’amour… Mais le camarade Généralissime Staline est droit de se demander si le personnage de Richard III, sans bosse, sans épée et sans cape de pacotille n’aurait pas échappé à la vigilance révolutionnaire du grand metteur en scène Vzevolod Meyerhold.

Dans la Russie des soviets : Shakespeare, c’est gai, c’est beau, ça parle d’amour… Mais le camarade Généralissime Staline est droit de se demander si le personnage de Richard III, sans bosse, sans épée et sans cape de pacotille n’aurait pas échappé à la vigilance révolutionnaire du grand metteur en scène Vzevolod Meyerhold.