Elizabeth Marie

Elizabeth Marie

Je rencontre le théâtre, le cinéma et, la radio en tant qu’outils de création, au cours de mes études à Strasbourg (littérature et linguistique). Je mène en parallèle avec 3 années d’enseignement du français dans le secondaire, des recherches personnelles en photographie, écriture sonore, organisation d’évènements. Je deviens alors correspondante du Panorama de France Culture et réalise des travaux de création pour Les matinales et Les nuits magnétiques.

Je rencontre Bernard Bloch et Ismaïl Safouan. Nous créons la Compagnie Scarface Ensemble en 1979 pour le spectacle Nous irons tous à Capella, opéra autour du roman noir. En 1981, la Compagnie, subventionnée par le Ministère de la Culture et dorénavant animée par Bernard Bloch et moi même, réalise des spectacles liant recherche musicale et théâtrale et mettant en jeu des questions sociétales autour de mon écriture ou celle d’auteurs du répertoire (Shakespeare, Platon, Fassbinder, Alloula, H. Muller, Dostoïevski, Leroi Jones, Ibsen, Seminara, Benyoucef, Gorki, etc.). Nous n’hésitons pas à recourir à des textes autres que théâtraux quand nécessaire (Godard, Perec, textes amérindiens…).

La compagnie s’installe à Mulhouse en 1985 et intervient alors dans et hors des théâtres (appartements, bibliothèques, prison, foyers d’urgence, cantine d’usine, buffet de gare, etc.) où elle réalise des spectacles et performances.

En parallèle avec mon activité purement professionnelle, je mène depuis 1999 des ateliers de formation pour étudiants éducateurs spécialisés conduisant à une réalisation théâtrale intégrée à leur parcours d’études.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Elizabeth Marie

American dream

Reine Blanche, Paris

du 17 au 20 avr. 2019
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Nicoleta Esinencu
  • Mise en scène : Elizabeth Marie
  • Avec : Selin Altiparmak, Cyril Alata, Jason Bitter Kourounis
Pleine d'espoir, une étudiante moldave émigre dans le cadre d'un programme de travail aux États-Unis. Mais le rêve devient cauchemar et l'obligation de travailler illégalement à Moscou se substitue au séjour en Amérique. Nicoleta Esinencu livre un regard acéré sur la globalisation et ses fantasmes.
Une sale histoire

Lucernaire, Paris

du 5 nov. 2008 au 3 janv. 2009
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Fédor Dostoïevski
  • Mise en scène : Elizabeth Marie
  • Avec : Marc-Henri Boisse
Un officier déchu devenu usurier épouse une jeune fille pauvre en prétendant ou croyant sincèrement la sortir de la misère et lui impose ses propres règles de vie. Nous sommes dans la Russie de 1870 qui vient de se libérer du servage. Explorant les rapports entre textes, musiques et sons à partir de la nouvelle La douce, la compagnie Scarface Ensemble propose une réflexion théâtrale sur "l'âme humaine", son opacité aux interprétations infinies.
Une sale histoire

Cartoucherie - Théâtre du Chaudron, Paris

du 19 au 21 mars 2007
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Fédor Dostoïevski
  • Mise en scène : Elizabeth Marie
  • Avec : Marc-Henri Boisse
Un officier déchu devenu usurier épouse une jeune fille pauvre en prétendant ou croyant sincèrement la sortir de la misère et lui impose ses propres règles de vie. Nous sommes dans la Russie de 1870 qui vient de se libérer du servage. Explorant les rapports entre textes, musiques et sons à partir de la nouvelle La douce, la compagnie Scarface Ensemble propose une réflexion théâtrale sur "l'âme humaine", son opacité aux interprétations infinies.
Les dires

Théâtre de l'Agora - Evry, Evry Cedex

le 7 nov. 2000
CLASSIQUE Terminé
  • De : Abdelkader Alloula
  • Mise en scène : Elizabeth Marie
"Les Dires", c’est l’entrée en scène de la parole tue, celle que l’on écoute quelquefois, mais dont il n’est pas sûr qu’on l’entende vraiment… Car rien ne dit qu’elle ait été jamais proférée. Messaoud Benyoucef (1995)
Les dires

Espace culturel André Malraux au Kremlin-Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre

du 27 au 28 oct. 2000
CLASSIQUE Terminé
  • De : Abdelkader Alloula
  • Mise en scène : Elizabeth Marie
  • Avec : Christian Granara, Armand Chagot, Anisia Moerman, Gilles Najean, Denys Fouqueray, Albert Weiss
Les Dires, c’est l’entrée en scène de la parole tue, celle que l’on écoute quelquefois, mais dont il n’est pas sûr qu’on l’entende vraiment.