Une soirée, deux spectacles. Avec Underground, la suissesse Jasmine Morand revisite l’essence même du peep-show. Dans Aria, elle puise son inspiration dans le registre du sport automobile. Dès 16 ans.

Du noir naît la lumière. Treize danseurs composent un tableau chorégraphique intriguant.

Du noir naît la lumière. Treize danseurs composent un tableau chorégraphique intriguant.

Un kaléidoscope corporel pour un regard audacieux ! Poétique et troublante, Mire est une installation chorégraphique pour douze danseurs que vous observerez selon votre propre angle de vu.

Un kaléidoscope corporel pour un regard audacieux ! Poétique et troublante, Mire est une installation chorégraphique pour douze danseurs que vous observerez selon votre propre angle de vu.

Autour d’un piano blanc surdimensionné, ils sont cinq artistes à chanter, danser, jouer, s’amuser des bonheurs secondaires, des grands bonheurs, de ceux qui se sont enfuis, de ceux qui ne sont pas partis, de ceux rêvés en bricoleuse d’étincelles ou escaladeur d’arc-en-ciel. Un spectacle positif, composé de chansons pop, musiques électro et classique, fait d’instantanés, de brins de folie et d’humanités. Tout public dès 6 ans.

Parti de l'image d'une « pluie horizontale », Guilherme Botelho a dessiné à l'intérieur de ce flux continu des oscillations, des successions d'intensité, des variations de formes : une composition chorégraphique millimétrée qui se déploie dans les interstices, les modifications de rythme de cette vague déferlant au sol.

Parti de l'image d'une « pluie horizontale », Guilherme Botelho a dessiné à l'intérieur de ce flux continu des oscillations, des successions d'intensité, des variations de formes : une composition chorégraphique millimétrée qui se déploie dans les interstices, les modifications de rythme de cette vague déferlant au sol.

Parti de l'image d'une « pluie horizontale », Guilherme Botelho a dessiné à l'intérieur de ce flux continu des oscillations, des successions d'intensité, des variations de formes : une composition chorégraphique millimétrée qui se déploie dans les interstices, les modifications de rythme de cette vague déferlant au sol.

D’images oniriques en frasques surréalistes, le spectateur est submergé par ce mélange troublant de sentiments et d’émotions. Dans sa distorsion cocasse du quotidien, Le Poids des éponges s’apparente à un kaléidoscope, cet instrument un peu magique qui donne à voir la vie autrement.