Des bastaings, un hula hoop géant, cinq acrobates et une bonne dose d’obstination. Dans cette fable ironique, la compagnie La Mondiale générale défie les lois de l’équilibre avec un entêtement jubilatoire. Ils évoluent dans un espace mouvant : les obstacles sont volontairement nombreux, le risque est calculé pour être déraisonnable. Le gros sabordage est une fable sans drame, sans catastrophe ni cynisme.

Des bastaings, un hula hoop géant, cinq acrobates et une bonne dose d’obstination. Dans cette fable ironique, la compagnie La Mondiale générale défie les lois de l’équilibre avec un entêtement jubilatoire. Ils évoluent dans un espace mouvant : les obstacles sont volontairement nombreux, le risque est calculé pour être déraisonnable. Le gros sabordage est une fable sans drame, sans catastrophe ni cynisme.

Le porteur Alexandre Fray et le voltigeur Frédéric Arsenault relèvent un défi qui éprouve leur conscience d'homme à homme. Warm est une expérience esthétique et physique des limites de la condition humaine. Face à la chaleur, chair et désir abdiquent.

Deux corps d’hommes bataillent, s’attirent, se rejettent, s’éprouvent physiquement tout au long d’un parcours qu’ils s’imposent à eux-mêmes. Entre douceur et violence, ils basculent entre la volonté de se fondre et celle d’échapper au lien qui les unit irrémédiablement. Le porteur Alexandre Fray et le voltigeur Frédéric Arsenault créent, à travers la technique du main à main, un langage sensible qui questionne, de manière profonde et ambiguë, la complexité de la relation à l’autre.

La Base 11/19, c’est le carreau de mine où se trouvent les puits 11 et 19, à Loos-en-Gohelle, dans le Pas-de-Calais. C’est aussi l’occasion d’une nouvelle création de la la compagnie, H. V. D. Z de Guy Alloucherie, où le cirque s’ouvre à la danse, au théâtre, à la vidéo, et où la scène accueille le monde qui l’environne. Un spectacle bariolé, impur, militant, énergique.

Lieu : Théâtre de l'Idéal à Tourcoing. Dans une forme inédite qui emprunte aussi bien au théâtre qu’à la danse, au cirque et à la vidéo, Guy Alloucherie nous raconte son enfance dans le bassin minier, la fermeture des puits, la délocalisation des industries, l’immigration, la violence des banlieues en réponse à celle de notre société… Une œuvre bouleversante sur la bestialité du monde actuel.

Lieu : à Beaulieu. Les corps des comédiens, danseurs, acrobates, s'engagent aux limites du possible pour raconter les histoires d'individus en proie aux inacceptables violences que notre société leur inflige.

Entre les artifices des images spectaculaires et le réalisme féroce du propos : une œuvre bouleversante sur la bestialité du monde actuel.