Des bastaings, un hula hoop géant, cinq acrobates et une bonne dose d’obstination. Dans cette fable ironique, la compagnie La Mondiale générale défie les lois de l’équilibre avec un entêtement jubilatoire. Ils évoluent dans un espace mouvant : les obstacles sont volontairement nombreux, le risque est calculé pour être déraisonnable. Le gros sabordage est une fable sans drame, sans catastrophe ni cynisme.
Des bastaings, un hula hoop géant, cinq acrobates et une bonne dose d’obstination. Dans cette fable ironique, la compagnie La Mondiale générale défie les lois de l’équilibre avec un entêtement jubilatoire. Ils évoluent dans un espace mouvant : les obstacles sont volontairement nombreux, le risque est calculé pour être déraisonnable. Le gros sabordage est une fable sans drame, sans catastrophe ni cynisme.
Cette compagnie, a quelques sujets d’élection : la prise de risque, l’auto-destruction et… la chute ! Ici, on le voit bien, tout va être question d’équilibre : en avoir ou pas… Leur agrès, de simples blocs de bois (les « bastaings »), deviennent totems fragiles ou piliers destinés à nous faire traverser une mer imaginaire. Et leur hula hoop version XXL menace à chaque instant de finir par terre. Qu’importe, l’essentiel est d’essayer, encore et toujours. N’est-ce pas la fatalité de la vie humaine que de s’entêter à y croire ?
Le gros sabordage, c’est aussi beaucoup d’humour !