Jean-Jacques Lemêtre, musicien du Théâtre du Soleil depuis 46 ans, présente sa dernière création : Musicalopithèque, un voyage sonore à travers le Temps, les instruments de Musique et l'Histoire de l'Humanité.

Comment vivre dans le regard des autres avec ce qui fait de vous au mieux une anomalie, au pire un monstre ? Le monstre désigne aussi bien des êtres réels que des créatures fantastiques. Il nomme ce que nous ne voulons pas être et nous permet de mettre un mot sur ce que nous ne pouvons pas comprendre. La différence fait peur parce qu’elle représente ce qu’on ne connaît pas.

Reprise de la dernière création du Théâtre du Soleil ! Un voyage dans le temps et les formes théâtrales qui ont jalonné le parcours d'Ariane Mnouchkine, où elle questionne le théâtre, son rôle et son avenir dans le monde, et la place de la femme dans nos sociétés. Joué, chanté, dansé, c'est un grand spectacle foisonnant qui emprunte au Terukkuttu, aux grands maîtres et à l'actualité. Dernières irrévocables !

Reprise de la dernière création du Théâtre du Soleil ! Un voyage dans le temps et les formes théâtrales qui ont jalonné le parcours d'Ariane Mnouchkine, où elle questionne le théâtre, son rôle et son avenir dans le monde, et la place de la femme dans nos sociétés. Joué, chanté, dansé, c'est un grand spectacle foisonnant qui emprunte au Terukkuttu, aux grands maîtres et à l'actualité. Dernières irrévocables !

Reprise de la dernière création du Théâtre du Soleil ! Un voyage dans le temps et les formes théâtrales qui ont jalonné le parcours d'Ariane Mnouchkine, où elle questionne le théâtre, son rôle et son avenir dans le monde, et la place de la femme dans nos sociétés. Joué, chanté, dansé, c'est un grand spectacle foisonnant qui emprunte au Terukkuttu, aux grands maîtres et à l'actualité. Dernières irrévocables !

Le Théâtre Indianostrum (qui avait accueilli à Pondichéry la troupe du Théâtre du Soleil pour le début des répétitions d’Une chambre en Inde) présente trois spectacles à la Cartoucherie. L'Inde est à Paris ! En tamoul, surtitré en français.

 " Un coefficient d’incalculable grandeur " voilà ce que sent Proust dans la netteté du petit bourdonnement de guêpe dans le ciel de l’été 1913, et ce n’était ni un moucheron, ni un oiseau, mais " un aéroplane monté par des hommes, et veillant sur nous. " Ce moucheron-aéroplane-cheval céleste, cette infime monture sonore qui nous donne toute la hauteur du ciel d’été amical et vertigineux, c’est le spectacle Les naufragés du Fol Espoir.