JUR est à la fois le nom du groupe et de son interprète. Elle, elle est grande, très grande, c’est une Catalane à la voix chaude et grave dont les yeux pétillent de malice. Elle est accompagnée par ses musiciens-circassiens un peu décalés qui l’ont suivi dans cette folle aventure. L’univers s’impose dans sa singularité irréelle mêlant les langues et les histoires. On ne ressort pas indemne d’un concert de Jur, c’est un voyage dans un monde inexploré. À partir de 6 ans.

JUR est à la fois le nom du groupe et de son interprète. Elle, elle est grande, très grande, c’est une Catalane à la voix chaude et grave dont les yeux pétillent de malice. Elle est accompagnée par ses musiciens-circassiens un peu décalés qui l’ont suivi dans cette folle aventure. L’univers s’impose dans sa singularité irréelle mêlant les langues et les histoires. On ne ressort pas indemne d’un concert de Jur, c’est un voyage dans un monde inexploré. À partir de 6 ans.

JUR est à la fois le nom du groupe et de son interprète. Elle, elle est grande, très grande, c’est une Catalane à la voix chaude et grave dont les yeux pétillent de malice. Elle est accompagnée par ses musiciens-circassiens un peu décalés qui l’ont suivi dans cette folle aventure. L’univers s’impose dans sa singularité irréelle mêlant les langues et les histoires. On ne ressort pas indemne d’un concert de Jur, c’est un voyage dans un monde inexploré. À partir de 6 ans.

Après On the Edge (2007), Aïe (2010) et Malabo (Cabaret Crida–2011) Julien Vittecoq et Jur Domingo prolongent leur travail de création autour d’un nouveau spectacle, Mañana es mañana. Ils sont rejoints sur scène par Gabriel Agosti et Anicet Léone pour un quatuor qui encore une fois quitte les sentiers battus, brouille les frontières entre les disciplines et rend caduques les clefs de lecture préétablies.

JUR est à la fois le nom du groupe et de son interprète. Elle, elle est grande, très grande, c’est une Catalane à la voix chaude et grave dont les yeux pétillent de malice. Elle est accompagnée par ses musiciens-circassiens un peu décalés qui l’ont suivi dans cette folle aventure. L’univers s’impose dans sa singularité irréelle mêlant les langues et les histoires. On ne ressort pas indemne d’un concert de Jur, c’est un voyage dans un monde inexploré. À partir de 6 ans.

Infirmes de la langue, deux orphelins à l’intimité étrange, errent comme le font les planètes qui jamais ne se rencontrent à moins d’exploser. Acrobates, jongleurs, qu’importe, Jur Domingo Escofet et Julien Vittecoq sont clowns avant tout, porteurs d’un art périlleux qui ne souffre aucun artifice. Animés d’énergies contradictoires, ils inventent un langage gestuel dramatique qui, sans avoir peur de la grimace, tend vers la révélation d’une beauté originelle.

Avec Alain Rigout le spectacle prend le temps de la flânerie. On digresse entre le chant, la chorégraphie et la poésie. Ainsi L’homme qui était mort, solo modèle du genre, a marqué l’entrée en danse de ce grand dégingandé.