Robert Wilson met en scène Les Nègres, pièce plurielle de Jean Genet. Le dialogue à distance entre l'un des poètes les plus attentifs à l'intensité de sa langue et l'un des grands plasticiens de notre temps est engagé. Il promet d'être superbe.

Faire entendre toute une vie le temps d’un feu rouge… tel est le pari du dramaturge burkinabè, Aristide Tarnagda, l’une des voix théâtrales originales de ce pays et dont les pièces ont été jouées sur le continent africain mais aussi par le monde, à Saõ Paulo comme en Avignon cet été.

Monsieur est un étudiant africain. Il vit dans une minuscule chambre de bonne. Il conte à un ami invisible l’histoire du village « des déconnards », lieu authentique d’une folie irrépressible. Koffi Kwahulè fait partie des grands écrivains africains.

Cette création revisite l’histoire des « tirailleurs sénégalais », des soldats africains ayant servi dans l’armée française. Un chant d’espoir et de courage pour tous les peuples en lutte.

Cette création revisite l’histoire des « tirailleurs sénégalais », des soldats africains ayant servi dans l’armée française. Un chant d’espoir et de courage pour tous les peuples en lutte.

La princesse Janet s’est réfugiée avec son amant, lord Slada, dans un cloître en ruine pour échapper à la convoitise du roi de Man. Ils sont piégés dans cet asile dont les fruits et les fontaines sont empoisonnés. Sortir, c’est être prisonniers ; rester, c’est mourir de faim.

La princesse Janet s’est réfugiée avec son amant, lord Slada, dans un cloître en ruine pour échapper à la convoitise du roi de Man. Ils sont piégés dans cet asile dont les fruits et les fontaines sont empoisonnés. Sortir, c’est être prisonniers ; rester, c’est mourir de faim.