Lucas Faulong se forme en tant qu’acteur au Conservatoire de Lyon puis intègre en 2018 la Manufacture – Haute Ecole des Arts de la scène de Lausanne. Il travaille notamment avec Francois Gremaud, Gabriel Calderon, Jonathan Capdevielle, Marie-José Malis, Amir Reza Koestani, Elina Lowensohn, Bruno Meyssat ou encore Oscar Gomez-Mata.
En 2021, il joue dans Sur la voie royale d’Elfriede Jelinek, mis en scene par Maya Bosch (La Commune – CDN d’Aubervilliers, Le Manège – scène nationale de Maubeuge, Les Halles – théâtre de Sierre) et dans TRIGGER WARNING (lingua ignota) de Marcos Caramés-Blanco, mis en scène par Maëlle Dequiedt (Cie La Phenomena).
En 2022, il est en résidence à La Colline – théâtre national avec Marcos Caramés-Blanco dans le cadre de la bourse de résidence d’artistes. Il joue également dans Gloria Gloria du même auteur mis en scène par Sarah Delaby-Rochette dont une première étape de création est présentée au festival JT22 à Paris.
Au cinéma, il tourne dans Conan la Barbare, prochain film de Bertrand Mandico, et L’Arche de Noé de Bryan Marciano. Il joue par ailleurs dans divers courts-métrages dont La Renarde de Coline Confort (sélectionné au Niff) et The Life Underground de Loic Hobi (sélectionné au festival de Locarno, FIFIB, Swiss Film Award).
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Théâtre Ouvert, Paris
Personne ne se méfie de Gloria. Ses journées se ressemblent, faites d’horaires et d’obligations. La pièce raconte ce jour où, sans raison apparente, en sortant de chez elle, il fait nuit. Les choses se passent dans le même ordre que tous les jours, mais ce jour-là, la mécanique de l’ordinaire s’enraye.
Paris-Villette, Paris
Personne ne se méfie de Gloria. Ses journées se ressemblent, faites d’horaires et d’obligations. La pièce raconte ce jour où, sans raison apparente, en sortant de chez elle, il fait nuit. Les choses se passent dans le même ordre que tous les jours, mais ce jour-là, la mécanique de l’ordinaire s’enraye.
Paris-Villette, Paris
En un peu plus d’une heure de scrolling sur un smartphone au cœur de la nuit, le portrait de Zed, 16 ans et « genderfucked », se dresse devant nous. Une expérience poétique et musicale qui parle de nos ados, exposés au flux constant d’images, et des dérives du monde virtuel. Puissant et nécessaire.
Théâtre Ouvert, Paris
En un peu plus d’une heure de scrolling sur un smartphone au cœur de la nuit, le portrait de Zed, 16 ans et « genderfucked », se dresse devant nous. Une expérience poétique et musicale qui parle de nos ados, exposés au flux constant d’images, et des dérives du monde virtuel. Puissant et nécessaire.