Maria Fitzi

Maria Fitzi

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De 1999 à hier - Maria Fitzi

Entre chien et loup

Théâtre IVT - International Visual Theatre, Paris

du 26 nov. au 28 déc. 2008
1h15
CLASSIQUE Coup de cœur Terminé
  • De : Jean de la Fontaine
  • Mise en scène : François Guizerix
  • Avec : Bachir Saïfi, Hrysto Ho, Maria Fitzi, Marie Vitez, Yoann Robert, Elise Legros, Violaine Roméas
Un spectacle de marionnettes mêlant fables, imaginaire des enfants et féerie du cirque pour proposer aux petits comme aux plus grands, aux entendants comme aux sourds, de traverser l'univers de La Fontaine. En langue des signes et en français.
Entre chien et loup

Théâtre IVT - International Visual Theatre, Paris

du 20 avr. au 5 mai 2007
1h15
CLASSIQUE Coup de cœur Terminé
  • De : Jean de la Fontaine
  • Mise en scène : François Guizerix
  • Avec : Bachir Saïfi, Hrysto Ho, Maria Fitzi, Marie Vitez, Yoann Robert, Elise Legros, Violaine Roméas
Un spectacle de marionnettes mêlant fables, imaginaire des enfants et féerie du cirque pour proposer aux petits comme aux plus grands, aux entendants comme aux sourds, de traverser l'univers de La Fontaine. En langue des signes et en français.
Modernité et colonialisme

Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris

du 11 au 15 juin 2006
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Bertolt Brecht, Falk Richter, Philippe Adrien
  • Mise en scène : Marjorie Heinrich, Philippe Adrien, Rolf Kasteleiner
  • Avec : Aurélien Bénizeau, Delphine Branger, Marie Collins, Régis Ivanov, Anne-Lise Kedves, Roxane Lebrun, Marie Lecam, Laurent Maurel, Anka Musy, Yanis Oudran, Andrea Schieffer, Lara Suyeux, Maria Fitzi, Dorylia Calmel, Jochen Haegele, Anne-Katerine Normant, Andrea Schieffer, Jérôme Veyhl, Cédric Weber, Pierre-Alain Chapuis, Arnaud Carbonnier, Paulin Fodouop, Marjorie Heinrich, Tadié Tuéné, Jean O'Cottrell, Mary Owen
Peut-on encore parler d’idéal civilisateur ? De J. Conrad en 1896 - « On parle de la philanthropie de la civilisation mais on ne voit pas où elle se trouve » -, à Falk Richter en 2003 - « Cela fait des décennies que nous volons avec Dieu à nos côtés pour libérer le monde du mal. Mais à peine a-t-on vaincu un pays qu’un autre surgit » -, la préoccupation brechtienne demeure : quel est le pouvoir de l’homme sur sa propre histoire ?