Le songe d'une nuit d'été
Espace culturel André Malraux au Kremlin-Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre
CLASSIQUE
Terminé
-
De :
William Shakespeare
-
Mise en scène :
Lisa Wurmser
-
Avec :
Marie Micla,
John Arnold,
Flore Lefebvre des Noëttes,
Adil Laboudi,
Jade Fortineau,
Léo Grange,
Yoanna Marilleaud
Le Songe d’une nuit d’été, première grande comédie de Shakespeare, fait référence à la Saint-Jean et aux festivités champêtres. La virtuosité de l’enchevêtrement des intrigues multiples, l’atmosphère onirique et les jeux de miroir créés par l’image du théâtre-dans-le-théâtre, font de cette pièce un véritable enchantement. Les facéties de Puck, le magicien, régénèrent le monde ; les sortilèges d’Obéron rétablissent l’ordre de l’univers. La pièce s’achève en réjouissances et en hymne à la fécondité.
Le songe d'une nuit d'été
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
du 3 mars au 2 avr. 2017
2 heures
CLASSIQUE
Terminé
-
De :
William Shakespeare
-
Mise en scène :
Lisa Wurmser
-
Avec :
Marie Micla,
John Arnold,
Flore Lefebvre des Noëttes,
Adil Laboudi,
Jade Fortineau,
Léo Grange,
Yoanna Marilleaud
Le Songe d’une nuit d’été, première grande comédie de Shakespeare, fait référence à la Saint-Jean et aux festivités champêtres. La virtuosité de l’enchevêtrement des intrigues multiples, l’atmosphère onirique et les jeux de miroir créés par l’image du théâtre-dans-le-théâtre, font de cette pièce un véritable enchantement. Les facéties de Puck, le magicien, régénèrent le monde ; les sortilèges d’Obéron rétablissent l’ordre de l’univers. La pièce s’achève en réjouissances et en hymne à la fécondité.
Protée
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
du 13 mars au 13 avr. 2014
1h15
CLASSIQUE
Coup de cœur
Terminé
-
De :
Paul Claudel
-
Mise en scène :
Philippe Adrien
-
Avec :
Dominique Gras,
Eléonore Joncquez,
Matthieu Marie,
Marie Micla,
Jean-Jacques Moreau
En 1913, Paul Claudel revient à Eschyle. Après Agamemnon, il traduit Les Choéphores, et rêve sur le drame satyrique qui complétait la tétralogie et dont il ne reste que le titre : Protée. Prenant appui sur l’Odyssée et Hélène d’Euripide, il en fait une « énorme bouffonnerie, une véritable pitrerie de cirque ».
Protée
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
du 10 janv. au 24 févr. 2013
1h15
CLASSIQUE
Coup de cœur
Terminé
-
De :
Paul Claudel
-
Mise en scène :
Philippe Adrien
-
Avec :
Dominique Gras,
Eléonore Joncquez,
Matthieu Marie,
Marie Micla,
Jean-Jacques Moreau
En 1913, Paul Claudel revient à Eschyle. Après Agamemnon, il traduit Les Choéphores, et rêve sur le drame satyrique qui complétait la tétralogie et dont il ne reste que le titre : Protée. Prenant appui sur l’Odyssée et Hélène d’Euripide, il en fait une « énorme bouffonnerie, une véritable pitrerie de cirque ».
Exposition d'une femme
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
du 15 nov. au 15 déc. 2012
CONTEMPORAIN
Terminé
-
De :
Blandine Solange
-
Mise en scène :
Philippe Adrien
-
Avec :
Marie Micla,
Patrick Demerin
Incantatoire et fragile, cette confession nous plonge dans l’univers infréquentable de l’artiste en proie à la déraison : à la fois une mise à nu exhibitionniste et un autoportrait littéraire qui accompagne le travail pictural de l’auteur.
Protée
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
du 17 au 19 juin 2011
1h15
CLASSIQUE
Coup de cœur
Terminé
-
De :
Paul Claudel
-
Mise en scène :
Philippe Adrien
-
Avec :
Dominique Gras,
Eléonore Joncquez,
Matthieu Marie,
Marie Micla,
Jean-Jacques Moreau
En 1913, Paul Claudel revient à Eschyle. Après Agamemnon, il traduit Les Choéphores, et rêve sur le drame satyrique qui complétait la tétralogie et dont il ne reste que le titre : Protée. Prenant appui sur l’Odyssée et Hélène d’Euripide, il en fait une « énorme bouffonnerie, une véritable pitrerie de cirque ».
Inoculez-moi encore une fois le sida et je vous donne le nom (...)
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
CONTEMPORAIN
Terminé
-
De :
Blandine Solange
-
Mise en scène :
Philippe Adrien
-
Avec :
Patrick Demerin,
Marie Micla
Inoculez-moi encore une fois le sida et je vous donne le nom de la rose. Incantatoire et fragile, cette confession nous plonge dans l’univers infréquentable de l’artiste en proie à la déraison : à la fois une mise à nu exhibitionniste et un autoportrait littéraire qui accompagne le travail pictural de l’auteur.