Ce triptyque se construit autour d’une question : si on mettait les pieds dans l’espace qu’on a dans la tête, à quoi cela pourrait ressembler ?

Marionnettes à gaines et dessins. Dans leur castelet, les marionnettes sont formidablement à l’aise pour se tuer, donner la mort, renaître aussi sec... Moult gaines et quelques coups de pinceaux donnent vie avec malice et humour à ces petites danses macabres.

Marionnettes à gaines et dessins. Dans leur castelet, les marionnettes sont formidablement à l’aise pour se tuer, donner la mort, renaître aussi sec... Moult gaines et quelques coups de pinceaux donnent vie avec malice et humour à ces petites danses macabres.

Une pièce de théâtre musical pour marionnettes, actrice, mezzo-soprano, luth, violoncelle et bande magnétique. Une petite forme opératique délirante où se superposent et s'entremêlent toutes les formes de représentations théâtrales des histoires d'amour entre les femmes et les hommes de la tragédie grecque à nos jours en passant par l'opéra de Mozart.

C’est l’histoire de trois femmes algériennes plongées dans la tourmente. Trois générations, Raïssa, Leïla et Saïda, distribuées selon les tessitures alto, mezzo, soprano colorature. Les grands thèmes chers à l’art lyrique habitent aussi cette oeuvre (la malédiction, le sacrifice, la « défaite des femmes »), alors même que l’histoire la plus récente (la Guerre d’Algérie, l’émigration, le fanatisme religieux) est présente mais traitée par Laurent Gaudé comme « matériau pour la fiction ». Thierry Pécou reprend à son compte le même enjeu : parvenir à faire du théâtre lyrique le lieu où résonnent les tragédies d’aujourd’hui.

C’est l’histoire de trois femmes algériennes plongées dans la tourmente. Trois générations, Raïssa, Leïla et Saïda, distribuées selon les tessitures alto, mezzo, soprano colorature. Les grands thèmes chers à l’art lyrique habitent aussi cette oeuvre (la malédiction, le sacrifice, la « défaite des femmes »), alors même que l’histoire la plus récente (la Guerre d’Algérie, l’émigration, le fanatisme religieux) est présente mais traitée par Laurent Gaudé comme « matériau pour la fiction ». Thierry Pécou reprend à son compte le même enjeu : parvenir à faire du théâtre lyrique le lieu où résonnent les tragédies d’aujourd’hui.

Drôle d’histoire que celle démarrée avec Francisco Moura ! Et facilement résumable…