Jeune danseur/chorégraphe d’origine sénégalaise, Amala Dianor s’attache à faire se croiser des univers a priori éloignés les uns des autres au sein d’un même champ chorégraphique. Face à un monde qui tourne (de plus en plus vite) à l’envers, il nous invite à prendre du recul avec sa nouvelle création, Quelque part au milieu de l’infini. Interprétée par trois danseurs (dont Amala Dianor lui-même), cette pièce très tonique se situe au confluent du hip-hop, de la danse contemporaine et des danses africaines.

Jeune danseur/chorégraphe d’origine sénégalaise, Amala Dianor s’attache à faire se croiser des univers a priori éloignés les uns des autres au sein d’un même champ chorégraphique. Face à un monde qui tourne (de plus en plus vite) à l’envers, il nous invite à prendre du recul avec sa nouvelle création, Quelque part au milieu de l’infini. Interprétée par trois danseurs (dont Amala Dianor lui-même), cette pièce très tonique se situe au confluent du hip-hop, de la danse contemporaine et des danses africaines.

Dirigée par Johanna Faye et Mustapha Lehlouh, la compagnie Black Sheep mène une recherche chorégraphique en prise directe avec notre époque, en tendant vers un au-delà du hip-hop. Après Iskio, duo très remarqué, Black Sheep présente maintenant une nouvelle création, Fact, pièce de groupe à la fois spontanée et stylisée, qui se fait l’écho vibrant de la vie dans les grandes villes modernes. Un corps-à-corps palpitant avec l’ici et maintenant.

Un regard complice sur la danse de demain. Espace ouvert à l’expérimentation et à la recherche, Open Space vous propose de découvrir le processus de création de six jeunes compagnies qui partageront avec vous leurs premières pistes de travail. Moments complices et privilégiés entre les artistes et le public, ces présentations sont suivies d’un échange avec les artistes.

Dans le cadre de la 12ème édition du festival Avis de Turbulences, découvrez les nouvelles créations de Sylvère Lamotte et du duo Johanna Faye & Mustapha Saïd Lehlouh.

Pour Borderline, le danseur-chorégraphe Sébastien Ramirez va décoller (et faire décoller quatre de ses pairs), grâce à l’intervention de deux gréeurs et de câbles, qu’il invite sur son plateau. C’est, dit-il, le rêve de tout danseur : pouvoir flotter au-dessus de la scène, pour flirter avec l’illusion de ne plus être soumis à une certaine gravité. C’est aussi un jeu ambigu, qui implique de se laisser contrôler par un « Deus Ex Machina ».

Pour Borderline, le danseur-chorégraphe Sébastien Ramirez va décoller (et faire décoller quatre de ses pairs), grâce à l’intervention de deux gréeurs et de câbles, qu’il invite sur son plateau. C’est, dit-il, le rêve de tout danseur : pouvoir flotter au-dessus de la scène, pour flirter avec l’illusion de ne plus être soumis à une certaine gravité. C’est aussi un jeu ambigu, qui implique de se laisser contrôler par un « Deus Ex Machina ».