Le troisième opéra de Richard Strauss garde les contours sulfureux de la pièce d'Oscar Wilde en y ajoutant une musique vocale et orchestrale d’une grande modernité, provoquant le scandale lors de sa création à Dresde en 1905. En plaçant Salomé dans un futur proche où la mort et le sexe sont banalisés, Lydia Steier livre une vision radicale qui renouvelle profondément le personnage et nous invite à questionner nos propres excès. Avec l'exceptionnelle soprano Lise Davidsen. Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des spectateurs. Spectacle en allemand, surtitré en français et en anglais.

Le troisième opéra de Richard Strauss garde les contours sulfureux de la pièce d'Oscar Wilde en y ajoutant une musique vocale et orchestrale d’une grande modernité, provoquant le scandale lors de sa création à Dresde en 1905. En plaçant Salomé dans un futur proche où la mort et le sexe sont banalisés, Lydia Steier livre une vision radicale qui renouvelle profondément le personnage et nous invite à questionner nos propres excès. Avec l'exceptionnelle soprano Lise Davidsen. Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des spectateurs. Spectacle en allemand, surtitré en français et en anglais.

Qui, de la musique ou de la parole, doit présider à l’écriture d’une œuvre lyrique ? Les personnages de Capriccio nourrissent un débat virulent au siècle des Lumières. Reprise de la mise en scène de Robert Carsen. En langue allemande, surtitré en français et en anglais.

Beethoven a écrit avec Missa Solemnis une œuvre monumentale, l’aboutissement de toute une vie musicale et un véritable « Everest » pour ses interprètes. Par le Cercle de l'Harmonie dirigé par Jérémie Rhorer et la Vokalakademie Berlin. Concert chanté en latin.

Vingt ans après une première mise en scène donnée au Festival d’Aix‑en-Provence, cette production a marqué les retrouvailles de Robert Carsen avec l’opéra de Mozart. Il pose sur l’œuvre un regard nouveau et nous livre une Flûte enchantée épurée, élégante et incarnée : un joyau sombre où les apparences se révèlent souvent trompeuses… En langue allemande.

Concert symphonique. Philippe Jordan dirige l'Orchestre de l’Opéra national de Paris pour la Messe en si mineur, BWV 232 de Johann Sebastian Bach.

Chant virtuose et irrésistible drôlerie des situations rivalisent au royaume du Pacha Selim. Situé à la charnière de deux périodes du parcours opératique de Mozart, on décèle dans cet opéra à la fois la spontanéité de la jeunesse qui s’achève et la maîtrise d’une écriture déjà pleinement mature. Opéra en version concert chanté en allemand, surtitré en français.

Le dernier opéra de Mozart nous montre la peine et le baume, le jour qui triomphe de la nuit, le chemin qu’il faut suivre pour être digne de l’humanité. Cette nouvelle production est mise en scène par Robert Carsen et dirigée par Philippe Jordan. En langue allemande.