Mettre en scène la Cène... Il fallait bien l’oser ! Conçu à partir des quatre différentes Passions composées par Jean-Sébastien Bach, ce spectacle propose de redécouvrir l’œuvre musicale et le texte des Évangiles et de jeter un œil neuf sur ce que l’on pensait savoir et connaître par cœur. Spectacle en allemand surtitré en français.

Jean-Christophe Frisch et son ensemble poursuivent leurs recherches pour faire revivre et découvrir au public les musiques baroques du monde entier. Un spectacle lyrique où les voix s’entrelacent avec les sonorités du sitar, de la guitare, de la flûte, de la harpe, du banjo, des théorbes, des percussions, et du violon…

Le spectacle évoque une journée de noce en Transylvanie, avec ses épisodes successifs : office religieux, procession, banquet … Les voix, populaires et savantes jouent le premier rôle dans ce grand concert de l’Europe baroque, tandis que les instruments donnent le tempo des danses.

Ce concert mettra en avant Mozart et deux de ses contemporains, moins connus. L’Ensemble Baroques-Graffiti est une formation instrumentale marseillaise de musique baroque dirigée par Jean-Paul Serra. Restitués sur instruments anciens, couleurs instrumentales, ornementations et phrasés font l'objet d'une recherche permanente d’authenticité, de vitalité et de justesse dans l’expression.

Extraits des opéras Rinaldo (1707), Giulio Cesare in Egitto (1724), Xerxès (1738) de Georg Friedrich Haendel et Didon et Énée (1689) de Henry Purcell. Les solistes du CNIPAL (Centre National d’Insertion Professionnelle d’Artistes Lyriques) donneront la réplique à Françoise Chatôt, récitante, pour évoquer les destins de favorites ou de femmes délaissées qui émaillent l’opéra baroque londonien de Haendel et de Purcell.

L'Egypte a toujours fasciné l'époque baroque. Dans les opéras d'alors, on s'entretue et l'on empoisonne, on se suicide, ce qui n'empêche pas parfois des résurrections imprévues. En somme, la mort n'est pas une fin, mais le passage obligatoire vers un ailleurs...

Un écran, un film, Journal d’une fille perdue, une chanteuse et des musiciens. A l’origine de ce spectacle : deux lumineuses rencontres, celle de Roberto Tricarri, musicien, et d’Hanna Schygulla, actrice et chanteuse puis celle de cette dernière avec celle qui fut sa muse : L

Cinéma muet en concert pour voix et orchestre d'après le "Journal d'une fille perdue" de G.W Pabst.Hanna Shygulla prête sa voix profonde et sensuelle à l'actrice, accompagnée de six musiciens.