Ces quatre pièces très différentes par leurs intrigues respectives mettent toutes en lumière le rapport si complexe qu’avait Guitry avec les femmes : admiratif, amoureux, accablé ou abasourdi, l’homme - qui représente l’auteur lui même - joue malicieusement avec les femmes, qu’il s’agisse de sa maîtresse, de son épouse ou de sa bonne.

Ces quatre pièces très différentes par leurs intrigues respectives mettent toutes en lumière le rapport si complexe qu’avait Guitry avec les femmes : admiratif, amoureux, accablé ou abasourdi, l’homme - qui représente l’auteur lui même - joue malicieusement avec les femmes, qu’il s’agisse de sa maîtresse, de son épouse ou de sa bonne.

Deux êtres qui ne se connaissent pas se sont regardés, aimés du premier coup d’oeil. Mais les mariages de convention ont fait assez de ravages en ce 18ème siècle pour que des êtres sincères et bons ne commencent pas par se méfier. Chacun devra fournir une preuve de ses sentiments avant de se laisser aller au bonheur. La démonstration est implacable, la progression, arithmétique.

Pour retrouver confiance et sérénité, le vieux protecteur d’une demi-mondaine en vient à confier à son jeune rival le rôle de « veilleur de nuit » de la belle.