Nourri de citations puisées dans l’œuvre d'Amadou Hampâté Bâ et sur une trame resituant l’auteur dans le contexte géopolitique, ce spectacle met en lumière cette personnalité remarquable et son œuvre accessible, d’une grande sagesse, teintée d’humour et d’un extraordinaire sens de la formule qui s’avère aujourd’hui d’une urgente et immédiate actualité.

Il veut quitter son pays. Il veut devenir footballeur en Europe. Un rêve, un espoir, un sauvetage. Il revit son périple, cherche ses mots… Les mots qui ponctuent les étapes. Fuite, route, tunnel, barbelés, frontière, interrogatoire. Ou bien encore, passeur, corruption, bakchich, racket… Parfois, attente, espoir… Plus souvent, désillusion, fatigue, douleur, faim, abattement, épuisement.

“Je me soûlais au vin de palme depuis l’âge de dix ans. Je n’avais rien eu d’autre à faire dans la vie...” Mais, malheur, l’homme qui le préparait se tue un jour en tombant d’un arbre. Commence alors l’odyssée cocasse de notre ivrogne en quête, dans la brousse et au pays des Morts, de son défunt malafoutier. Ce récit, traduit par Raymond Queneau, restitue la voix des anciens contes du Nigéria, celle de l’enfance, de la simplicité du verbe, de l’émotion... “

“Je me soûlais au vin de palme depuis l’âge de dix ans. Je n’avais rien eu d’autre à faire dans la vie...” Mais, malheur, l’homme qui le préparait se tue un jour en tombant d’un arbre. Commence alors l’odyssée cocasse de notre ivrogne en quête, dans la brousse et au pays des Morts, de son défunt malafoutier. Ce récit, traduit par Raymond Queneau, restitue la voix des anciens contes du Nigéria, celle de l’enfance, de la simplicité du verbe, de l’émotion... “

Après une longue prospection, je me suis basé sur différentes versions de l’histoire d’Œdipe pour en faire une nouvelle adaptation; de Sophocle à Jean Anouilh, en passant par Bernard Chartreux et aussi une série noire de Didier Lamaison, car je crois personnellement – à tort ou à raison – que les voies de la complémentarité se trouvent dans les différences. Sotigui Kouyaté 

“Je me soûlais au vin de palme depuis l’âge de dix ans. Je n’avais rien eu d’autre à faire dans la vie...” Mais, malheur, l’homme qui le préparait se tue un jour en tombant d’un arbre. Commence alors l’odyssée cocasse de notre ivrogne en quête, dans la brousse et au pays des Morts, de son défunt malafoutier. Ce récit, traduit par Raymond Queneau, restitue la voix des anciens contes du Nigéria, celle de l’enfance, de la simplicité du verbe, de l’émotion... “