L’histoire vraie, c’est celle d’une bande de mecs, huit danseurs, deux batteurs, la barbe en broussaille et la tête échevelée. C’est l’histoire d’un souvenir lointain et furtif, qui suscite une profonde émotion chez Christian Rizzo : une danse folklorique soudaine, improvisée par un groupe d’hommes dans les rues d’Istanbul.

Filipe Lourenço ouvre le bal de Paris l’été sur le grand plateau du festival. Une ouverture tout en beauté, suivie d’un DJ set entraînant du musicien Nuri !

Avec Cheb, Filipe Lourenço réussit le défi de relier la musique et la danse dans un format où le concert et la chorégraphie dialoguent main dans la main, tandis que Khoudia Touré présente Oro, un voyage à la recherche des mots et des corps de la jeunesse cosmopolite des trois continents africain, européen et américain.

Filipe Lourenço ouvre le bal de Paris l’été sur le grand plateau du festival. Une ouverture tout en beauté, suivie d’un DJ set entraînant du musicien Nuri !

Ambra Senatore aime nous surprendre et nous emmener, avec malice et un rien de provocation, sur des pistes, vraies ou fausses, avec lesquelles elle joue et se joue de nous. Dans cette nouvelle création, douze personnes se rencontrent et entrent en relation. Leurs mouvements déjouent les états qui les habitent.

Observer la mer et perdre son regard dans les vagues. miramar, la nouvelle création du chorégraphe Christian Rizzo appelle à divaguer et à se laisser bercer.

Éprouver, observer la violence comme une vibration qui anime les corps, le monde, le collectif et l’intime. Dans une minutieuse déconstruction sensible, Youness Aboulakoul nous invite dans le vécu de sa propre expérience de la violence.

L’histoire vraie, c’est celle d’une bande de mecs, huit danseurs, deux batteurs, la barbe en broussaille et la tête échevelée. C’est l’histoire d’un souvenir lointain et furtif, qui suscite une profonde émotion chez Christian Rizzo : une danse folklorique soudaine, improvisée par un groupe d’hommes dans les rues d’Istanbul.

Les deux artistes marocains nous emportent dans un imaginaire loufoque, un équilibre précaire, un mystère burlesque, une crise d’art. Il faut se laisser emporter par ce duo chorégraphique entre performance et installation à géométrie variable. C’est vif, drôle et décalé.

Dans un décor épuré, une scénographie composée, objets bruts un groupe naît sous nos yeux. 5 hommes, danseurs, amis, frères, collègues… Les Sauvages, toute nouvelle création de Sylvère Lamotte, questionne le rapport de l’individu au groupe, et la façon dont chacun se construit dans ses échanges avec les autres.