Yves Lenoir

Yves Lenoir

  • Formation

Formé dans les classes d’art dramatique et de diction au CNR de Clermont-Ferrand, Yves Lenoir suit ensuite les stages du London Studio à la Cartoucherie.

A 25 ans, il entame un cursus en musique ancienne. Il apprend le luth Renaissance avec Guy Robert à l’ENM de Pantin, et le chant lyrique dans la tessiture de haute-contre avec Xavier le Maréchal au Conservatoire Jean-Philippe Rameau à Paris.

Il travaille par ailleurs le chant lors de stages de formation à la Fondation Royaumont.

  • Au théâtre

Comédien

Il joue d’abord au sein de la compagnie Le Valet de Cœur (Molière, Musset, Dostoïevski, Mishima, Zéami) avant de rejoindre la Comédie de Clermont-Ferrand/Scène Nationale dans le spectacle La Taverne Shakespeare, m.e.s. Jean-Pierre Jourdain.

Il donne aussi de nombreux récitals mêlant poésie et musique, dans des lieux comme le Centre lyrique d’Auvergne, le Centre d’Art Polyphonique, la Maison de la poésie à Paris...

Metteur en scène

En 2002, il crée sa compagnie pour monter La Jeune Fille et la Mort de Nicolas Genka au Théâtre Molière-Maison de la poésie, reprise en 2003 à la Comédie de Clermont-Ferrand/Scène Nationale

2004 Carcasse d’Eric Noyer, opéra pour enfants, avec 50 élèves de classes de CM

Dans le cadre d’un laboratoire de création dans des quartiers sous équipés, il mène également un travail d’écriture et de mise en scène autour des Iphigénie de Gluck.

  • Chant lyrique

En 2004, il enregistre chez Calliope le Manuscrit de Montpellier à l’Abbaye Royale de Fontevraud avec l’ensemble Ligeriana.

Il s’est produit au Festival international de Besançon, à Cluny-musée national du Moyen-âge avec divers programmes (le Livre vermeil, les Cantigas de Santa Maria, Dufay et ses contemporains, Claude de Guise…) et différents ensembles : Ligeriana, Perceval, Entheos...

Il rejoint l’Atelier lyrique du Rhin-Centre Dramatique Régional pour assister Matthew Jocelyn dans les mises en scène de Macbeth et de la Carmencita, dans laquelle il chante également (2006, Théâtre Suresnes Jean Vilar).

  • Auteur

2006 Leçons de ténèbres, prose poétique, éditions Comp’Act
2002 Le Retour d’Ariane, essai sur le théâtre contemporain, éditions l’Ile Verte

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Yves Lenoir

Stabat Mater Furiosa

Maison de la Poésie, Paris

du 29 janv. au 15 févr. 2009
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Jean-Pierre Siméon
  • Mise en scène : Yves Lenoir
  • Avec : Catriona Morrison, Patricia Dallio
Le cri de celles qui ont crié pour ne pas étouffer. Un furieux cri d’amour, une prière, qui s’élève dans toute sa détermination devant la machine de guerre, devant le guerrier, devant la bestialité de l’homme de guerre qu’il faut arrêter avant que tout explose de nouveau.
La Carmencita

Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes

du 6 au 8 oct. 2006
2H30 avec entracte
MUSIQUE & DANSE Coup de cœur Terminé
  • De : Georges Bizet, Prosper Mérimée
  • Mise en scène : Matthew Jocelyn
  • Avec : Dominique My, Fabien Gauchy, Yves Lenoir, Ainhoa Zuazua Rubira, Carolina Bruck Santos, Aline Martin, Karen Perret, Roger Padulles Pubill, Carlos Aguirre, Etienne Hersperger
Une version de l’œuvre mythique de Bizet pour dix chanteurs des Jeunes Voix du Rhin et douze musiciens de l’Ensemble Fa. Cette Carmen "intime" met l'accent sur la théâtralité de l’œuvre qui, allégée de son folklore, est plus touchante et plus proche. Une version moderne qui transcende toute l’intensité de cette histoire d’amour déchirante de beauté et de désespoir !
La Carmencita

Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris

du 9 au 24 juin 2006
2H30 avec entracte
MUSIQUE & DANSE Coup de cœur Terminé
  • De : Georges Bizet, Prosper Mérimée
  • Mise en scène : Matthew Jocelyn
  • Avec : Dominique My, Fabien Gauchy, Yves Lenoir, Ainhoa Zuazua Rubira, Carolina Bruck Santos, Aline Martin, Karen Perret, Roger Padulles Pubill, Carlos Aguirre, Etienne Hersperger
Une version de l’œuvre mythique de Bizet pour dix chanteurs des Jeunes Voix du Rhin et douze musiciens de l’Ensemble Fa. Cette Carmen "intime" met l'accent sur la théâtralité de l’œuvre qui, allégée de son folklore, est plus touchante et plus proche. Une version moderne qui transcende toute l’intensité de cette histoire d’amour déchirante de beauté et de désespoir !