La vie
L'œuvre
Esthétique et économie
Elle est brève : 46 ans. Baudelaire naît à Paris le 9 avril 1821, meurt à Paris le 31 août 1867. Sa vie commence avec un roman familial dont les personnages seront trop tentants pour les psychanalystes débutants. Le vieux père, François Baudelaire, ancien chef des bureaux du Sénat mis à la retraite par la Restauration, peintre à ses heures, avait fréquenté, trente ans plus tôt, les philosophes qui salonnaient chez Mme Helvétius. C'est à 60 ans que cet homme du XVIIIe siècle, peut-être prêtre défroqué, épouse, en secondes noces, Caroline Archenbaut-Dufaÿs, 26 ans. Huit ans plus tard, en 1827, François Baudelaire meurt à l'âge de 68 ans. Charles n'en a pas encore 6. C'est alors que Caroline, après un an de veuvage, fait entrer dans la vie de son fils le chef de bataillon Aupick, militaire plein d'avenir dont la jeune mère s'éprend et qu'elle épouse. Il sera, presque aussitôt, nommé à Lyon, où il fait mettre en pension son beau-fils. Trois ans passent. 1836 : on rentre à Paris où, maintenant colonel, Aupick vient d'être muté. Charles, 15 ans, entre, toujours interne, à Louis-le-Grand. Il en sera renvoyé, trois ans plus tard, pour indiscipline, peu avant d'obtenir le baccalauréat, son unique diplôme. Ces années d'adolescence verront se confirmer un goût marqué pour la littérature et la vie dite alors de bohème qui, en même temps qu'une première liaison, inquiétera suffisamment la famille pour qu'elle le fasse embarquer sur un navire en partance pour Calcutta, espérant qu'un changement d'horizon donnera au jeune homme l'occasion de réorienter sa vie. Mais la solitude, l'ennui de la traversée sont tels qu'il refuse d'aller plus loin que l'île Maurice et, après quelques semaines d'attente à l'île de la Réunion, prend le bateau en sens inverse. Il arrive à Paris en avril 1842, après dix mois d'absence, juste à temps pour prendre possession, maintenant qu'il est majeur, des terrains que son père lui avait laissés en héritage et qu'il réalise aussitôt.
Ce retour marque la rupture décisive pour la vie et pour l'œuvre de Baudelaire, auxquelles il donne leur économie définitive. Il constitue l'équivalent, dans sa vie, de ce qu'est l'entrée du spectre dans « la Chambre double ». Avec lui, en effet, apparaissent presque simultanément les huissiers, l'« infâme concubine » et les directeurs de journaux qui veulent de la copie. On ne retiendra de ce qui suit que ces quelques chapitres, les mieux balisés :
– les dettes : elles arrivent peu après l'entrée en possession de l'héritage paternel que le goût des objets de luxe fait fondre rapidement. Ce sont elles qui, en 1844, introduisent dans la biographie du poète Me Ancelle, notaire à Neuilly, que le tribunal, à la demande de sa mère, a désigné comme son conseil judiciaire. Cette tutelle sera pour lui une blessure dont il ne cessera pas de ressentir l'humiliation. Elle n'empêchera d'ailleurs pas son capital de continuer à fondre. Et, comme les revenus de son activité littéraire resteront dérisoires, il devra à la fin fuir en Belgique les créanciers qui le harcèlent.
– les maîtresses : pour commencer, Sarah, dite Louchette, la prostituée juive du Quartier latin ; puis, rencontrée à son retour des îles, Jeanne Duval, la mulâtresse stupide, infidèle et avide aux dires des uns, mais divine et bestiale selon Banville ; même après la rupture de cette liaison longue et instable, Baudelaire continuera d'aider son ancienne maîtresse. Il y a aussi les figures plus épisodiques de Marie Daubrun, la belle actrice à qui, en 1847, il demande de l'inspirer, et surtout de la trop gaie Présidente, Apollonie Sabatier, objet pendant cinq ans d'une cour platonique de sa part, qui finit par se donner à lui mais qu'il ne prend pas.
– le voyage : celui qu'il a fait à contrecœur (les mers du Sud en 1841) sera suffisant pour qu'il en rêve tout le reste de sa vie. Il ne sera pas sédentaire pour autant, mais, s'il se déplace, c'est sur place ; à défaut de voyager, il passera son temps, instable et claustrophobe, à déménager dans Paris. Quelques sorties pourtant, Châteauroux en 1848, Dijon l'année suivante. Il lui arrivera aussi de séjourner à Honfleur, où sa mère, de nouveau veuve, s'est retirée. Bruxelles, enfin : ses créanciers l'ayant décidé à faire le pas, il y passera les deux dernières années de vie consciente, sans aménité.
– les amis : ceux de l'École normande, au temps de l'adolescence, Prarond et Le Vavasseur, puis la bohème et les Jeunes-France (Nerval, Pétrus Borel) ; après le retour, ceux qui se réuniront au Club des haschischins, Gautier, Balzac ; puis le fidèle Asselineau et les quarante-huitards, Champfleury, Courbet, Poulet-Malassis son futur éditeur ; Sainte-Beuve aussi...
– il y a 1848 et l'insurrection qui voit Baudelaire sur les barricades, exhortant les insurgés à fusiller le général Aupick, alors commandant de l'École polytechnique, se lançant ensuite dans le journalisme en fondant avec Champfleury et Toubin une feuille révolutionnaire qui aura deux numéros, le Salut public. Cette bouffée d'optimisme humaniste et socialisant ne survivra pas au coup d'État de 1851, après lequel Baudelaire s'en tiendra au dandysme aristocratique qu'il a extrait de Joseph de Maistre.
– il y a Poe, dont il lit, en 1847, le Chat noir, qui vient d'être traduit, dont il traduit à peu près aussitôt (1848) la Révélation magnétique et qui comptera désormais parmi ses intercesseurs. Poe meurt en 1849. Baudelaire publie en 1852 Edgar Allan Poe, sa vie et ses ouvrages, traduit la même année le Corbeau et Philosophie de l'ameublement, fait paraître et préface les volumes des Histoires (1856), des Nouvelles Histoires extraordinaires (1857), des Aventures d'Arthur Gordon Pym (1858), traduit en 1859 la Genèse d'un poème et Euréka. Dans l'auteur américain, il reconnaîtra l'incarnation à la fois de l'exigence de lucidité critique au cœur même de l'inspiration (la conscience dans la création) et de l'incompatibilité, spécifiquement moderne, de l'amour de la beauté avec l'utilitarisme de la démocratie industrielle.
– il y a les excitants et stupéfiants divers auxquels il ne s'est jamais privé de recourir et dont il est difficile de décider s'ils ont été la cause ou le remède d'un spleen maladif : le vin, occasionnellement le haschisch, l'opium (laudanum) plus régulièrement et l'alcool à la fin de sa vie. Ils seront le sujet, en 1851, de l'article Du vin et du haschisch et, en 1860, des Paradis artificiels.
– il y a enfin la maladie, mal héréditaire ou d'origine syphilitique, qui, après l'attaque de Namur où il visitait l'église Saint-Loup avec Félicien Rops, le laissera hémiplégique et aphasique. Un an plus tard, il meurt dans une clinique parisienne.
Baudelaire est l'auteur de deux volumes publiés de son vivant : les Fleurs du mal et les Paradis artificiels. Les Fleurs du mal paraissent en 1857, sont condamnées par la 6e chambre correctionnelle et republiées, en 1861, dans une édition profondément remaniée. C'est la somme vivante de l'expérience poétique de Baudelaire qui, au lieu de publier d'autres volumes, reversera constamment, d'édition en édition, au compte de celui-ci, les poèmes qu'il continue à écrire. La première édition, qui compte 100 pièces, paraît en 1857, chez Poulet-Malassis et De Broise, à 1 100 exemplaires. Elle est condamnée la même année (qui avait vu également le procès de Madame Bovary) : six pièces doivent en être retranchées. En 1861, la seconde édition, 126 poèmes, est tirée à 1 500 exemplaires : les pièces condamnées ont disparu, de nouvelles sont insérées et l'architecture du volume, sur l'importance de laquelle Baudelaire a tant insisté, se voit considérablement modifiée : entre les cinq sections de la première édition (dont l'ordre est d'ailleurs modifié : Spleen et Idéal, le Vin, Fleurs du mal, Révolte, la Mort), une sixième (Tableaux parisiens) vient maintenant s'intercaler. Cette édition de 1861 doit être considérée comme définitive, bien que nous sachions que Baudelaire voulait en modifier à nouveau la disposition dans une troisième édition que la mort l'a empêché d'établir : il n'est pas possible, en particulier, d'identifier à ce projet inabouti l'édition posthume (elle contient 151 poèmes) que font paraître Banville et Asselineau, en 1868, au lendemain de la mort du poète, comme premier volume des œuvres complètes qu'ils éditent chez Michel Lévy.
Les Paradis artificiels (publiés en 1860) porte en sous-titre : « Opium et Haschisch ». Déjà, en 1851, dans Du vin et du haschisch, paru dans le Messager de l'Assemblée, Baudelaire avait abordé la question des stupéfiants, mais un goût des foules qu'il croyait encore être démocratique lui avait alors fait préférer, à la solitude du haschisch, le vin, plus social, plus populaire. On sait qu'il avait expérimenté la « confiture verte », sous la supervision de Moreau de Tours, en 1842, au cours des réunions du Club des haschischins à l'hôtel Pimodan. Mais l'ouvrage de 1860 est fort différent : le vin est oublié, comme les velléités démocratiques de 1848. De plus, le rapport de Baudelaire avec l'opium, plus tardif mais plus régulier, n'a pas eu le caractère expérimental des essais de haschisch. Le livre est composé de deux parties : le Poème du haschisch et Un mangeur d'opium, cette dernière étant la présentation et la traduction partielle des Confessions of an English Opium-Eater que Thomas de Quincey avait fait paraître en 1821. Baudelaire, disait Breton, est surréaliste dans la morale. Les Paradis montreraient qu'il l'est surtout dans l'hygiène : leur projet correspond en effet à une diététique de l'imagination. Une diététique qui n'est d'ailleurs pas offerte à l'usage du premier venu. Avec sa référence au Vieux de la Montagne, la consommation du haschisch se fait dans le cadre fermé d'une société secrète qui se réclame de celle des Assassins. Les stupéfiants sont trop dangereux pour être mis à la disposition de chacun, mais on ne saurait être poète sans prendre des risques.
En 1866, Poulet-Malassis publie, à Bruxelles, les Épaves, un recueil de vingt-trois poèmes parmi lesquels les six pièces que le jugement du tribunal avait fait retirer de la première édition des Fleurs du mal. Juste après la mort de Baudelaire, Michel Lévy entreprend (décembre 1867) la publication des Œuvres complètes, dont l'édition sera confiée aux soins de Banville et d'Asselineau. Celles-ci comporteront sept volumes. Le premier, introduit par une notice de Gautier, donne une édition douteuse et complaisante des Fleurs du mal. Les deux suivants sont inédits : le deuxième rassemble, sous le titre Curiosités esthétiques, les Salons et les plus importants des textes sur la peinture ; le troisième, l'Art romantique, le reliquat des écrits critiques. Ce dernier recueil ne correspond à aucun projet explicite de Baudelaire et se borne à regrouper, sous un titre commun, le reliquat des textes critiques de l'auteur qui n'avaient pas été repris dans le volume précédent, les Curiosités esthétiques.
Le quatrième volume des Œuvres complètes, à côté de la Fanfarlo et des Paradis artificiels, recueille, pour la première fois, et sous ce titre contestable, l'ensemble des Petits Poèmes en prose, généralement intitulé le Spleen de Paris. Dans la dédicace « À Arsène Houssaye », Baudelaire rattache celui-ci au Gaspard de la nuit d'Aloysius Bertrand (1842) : « L'idée m'est venue, dit-il, d'appliquer à la description de la vie moderne, ou plutôt d'une vie moderne et plus abstraite, le procédé qu'il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne, si étrangement pittoresque. » Si l'on se rappelle que cette vie moderne, en droit attribuable à n'importe quelle métropole contemporaine, Baudelaire (qui est le premier poète moderne de la ville) en avait pourtant concédé l'exclusivité à Paris, on acceptera sans peine que, même si quelques-uns de ces poèmes en prose ne se déroulent pas dans un cadre parisien, le Spleen de Paris définit le plus justement l'inspiration générale des cinquante pièces du recueil.
Plus qu'au romantisme, c'est à la bataille rangée du romantisme et du classicisme que la modernité baudelairienne met un terme. Le romantisme, lit-on dans le Salon de 1846, est un produit du Nord dont les brumes libèrent la couleur de la sujétion à la ligne. Le classicisme en revanche est méridional comme la lumière qui souligne la forme et le trait. Phidias était grec, Rembrandt, hollandais : le Nord rêve quand le Sud perçoit. Aussi est-ce vers le Nord que l'Invitation au voyage convie de partir, mais c'est un Nord encombré d'évocations tropicales, rempli de souvenirs de « la splendeur orientale ». Ni classique ni romantique, ni sud ni nord, l'esthétique baudelairienne a pour objet, comme Leiris l'a montré, un classicisme fêlé : le Sud dont rêve le Nord.
D'où ses attaques contre « l'école païenne », qu'il appelle aussi « l'école plastique ». D'où également le caractère ambigu des éloges qu'il décerne à Théodore de Banville dans la notice qu'il lui consacre en 1861 : « Il a l'audace, écrit-il, de chanter la bonté des dieux et d'être un parfait classique. » Mais la notice suivante, consacrée à Pierre Dupont, évoque sans sympathie la « nuée » qui a « vomi les néoclassiques » sur Paris, dénonce l'« infatuation des Français pour la sottise classique ». Quand il loue Banville d'ignorer les « discordances » et les « dissonances » du sabbat, de refuser les « glapissements » de l'ironie, cela ne doit pas nous faire oublier la strophe centrale de l'Héautontimorouménos : « Ne suis-je pas un faux accord / Dans la divine symphonie, / Grâce à la vorace Ironie / Qui me secoue et qui me mord ? » Les belles heures dont il trouve l'écho dans la poésie de Banville, ce sont elles qui séparent le plus nettement leurs inspirations respectives : alors que les néoclassiques chantent le Paradis comme s'ils continuaient à y vivre, la poésie baudelairienne est porteuse d'une expérience beaucoup moins euphorique de la beauté. « Je ne prétends pas que la Joie ne puisse s'associer avec la Beauté, note-t-il dans une page de Fusées, mais je dis que la Joie en est un des ornements les plus vulgaires. »
C'est probablement du même œil sceptique qu'il faut lire le mot dont il salue Gautier dans la dédicace les Fleurs du mal : si, comme le titre du recueil l'indique assez clairement, la beauté est originellement pécheresse, un poète « impeccable » se trouverait en effet pécher, esthétiquement, par défaut. Tel est d'ailleurs le reproche constant que Baudelaire fera à ce qu'il appelle « la puérile utopie de l'école de l'art pour l'art ». Il n'y a pas de beauté pure, pas d'esthétique strictement formelle, pas de beauté classique si, par là, on veut entendre préchrétienne : pas de beauté païenne et innocente. Si le progrès (qu'il appelle « le paganisme des imbéciles ») et la civilisation consistent essentiellement « dans la diminution des traces du péché originel », l'art doit leur opposer l'ambition anachronique d'en raviver la marque.
Comme Bataille l'a montré dans le chapitre de la Littérature et le mal qui répond au Baudelaire de Sartre, la question de l'utilité, c'est-à-dire en particulier celle de la place de la poésie dans une économie générale, peut être considérée comme le centre de gravité du texte baudelairien dans son ensemble. Elle articule son esthétique à une économie négative : « Être un homme utile, note-t-il dans ses journaux intimes, m'a paru toujours quelque chose de bien hideux. » Il regrettera, à la fin du grand article sur Théophile Gautier, qu'il soit arrivé au poète de céder devant « l'Industrie et le Progrès, ces despotiques ennemis de toute poésie ».
L'inutilité que Baudelaire invoque pour innocenter les Fleurs du mal n'a rien d'un détachement impassible ou indifférent ; à la limite même, elle n'a rien d'innocent. Elle est le résultat d'une tension agressive dirigée contre la rentabilisation idéologique. L'inutilité du beau ne va pas de soi : elle est moins la définition de l'œuvre d'art que la formule de ce qu'elle doit être. Son non serviam ne va pas sans défi : celui par lequel la poésie a lieu dans un monde où elle n'a pas lieu d'être.
Bien que promoteur de la modernité comme valeur esthétique, Baudelaire n'a pas été tendre pour son époque qui, d'ailleurs, le lui a bien rendu. On pourrait penser à cette note de Fusées : « Chercher le passage : vivre avec un être qui n'a pour vous que de l'aversion. » Mais, ici, il ne s'agit pas de l'époque : la note renvoie à un ouvrage consacré au suicide. D'où on pourrait conclure que Baudelaire évoque, en s'y référant, l'aversion qu'il éprouverait pour sa propre personne. La majorité des commentateurs préfère pourtant y lire une allusion à ses rapports difficiles avec sa maîtresse. La possibilité de cette double lecture n'en souligne que plus fortement ce qu'a d'ambigu l'agressivité baudelairienne dont il est difficile de dire, unilatéralement, à qui elle s'adresse, qui en est la véritable victime : le poète ou les autres.
Source : larousse.fr
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