Une facture de gaz exorbitante est glissée sous la porte d’une jeune violoniste israélienne, enceinte de neuf mois. S'ensuit un périple haletant de 24h à travers Amsterdam, qui va conduire la jeune femme à découvrir l’histoire tragique de son appartement. A partir de 14 ans.
A partir de 14 ans.
Tout commence avec une facture de gaz exorbitante glissée sous la porte d’une jeune violoniste israélienne, enceinte de neuf mois. La suite est un périple haletant de 24h à travers Amsterdam, qui va conduire la jeune femme à découvrir l’histoire tragique enfouie dans les murs de son appartement.
Avec une mise en scène portée par une narration polyphonique singulière, qui se présente sous la forme d’un théâtre de voix non identifiées et non distribuées, qui se complètent, se contredisent, Laurent Brethome livre pour la première fois en France une adaptation fidèle de l’œuvre multi primée de Maya Arad Yasur, parvenant à en sublimer l’écriture intranquille. Amsterdam est un spectacle intense et poignant, qui emporte le spectateur dans une bouleversante quête de vérité.
La première partie de la pièce, la "narration polyphonique" ne m'a guère convaincu, trop peu théâtrale à mon goût. Ensuite, quand le personnage de la musicienne arrive, le spectacle devient plus facile à suivre, même si, à aucun moment, je n'y ai trouvé le "périple haletant" qui était promis. Par ailleurs, j'en suis reparti avec plus de questions que de réponses et n'ai pas identifié le message de l'autrice. Il m'a semblé qu'il était question de la place que la mémoire de la Shoah entretient dans les sociétés actuelles, en l'occurrence aux Pays-Bas et - surtout ? - en Israël mais il est probable que des références m'aient échappé, faute de détenir les clés de lecture suffisantes.
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La première partie de la pièce, la "narration polyphonique" ne m'a guère convaincu, trop peu théâtrale à mon goût. Ensuite, quand le personnage de la musicienne arrive, le spectacle devient plus facile à suivre, même si, à aucun moment, je n'y ai trouvé le "périple haletant" qui était promis. Par ailleurs, j'en suis reparti avec plus de questions que de réponses et n'ai pas identifié le message de l'autrice. Il m'a semblé qu'il était question de la place que la mémoire de la Shoah entretient dans les sociétés actuelles, en l'occurrence aux Pays-Bas et - surtout ? - en Israël mais il est probable que des références m'aient échappé, faute de détenir les clés de lecture suffisantes.
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