Arbon - Ça arrive à tout le monde

Paris 17e
le 8 mars 2011

Arbon - Ça arrive à tout le monde

Arbon nous donne rendez-vous pour fêter le printemps avec son 3ème album Ça arrive à tout le monde (WTPL / PIAS) toujours drôle et poétique. Rencontre entre un fabuliste et un rocker, il revisite la chanson à texte.
  • Chanson

En quelques années, avec son univers baroque mêlant provocation et poésie, tendresse et humour, humanisme et liberté, ce conteur né s’est installé dans le paysage de la chanson française. Son 3ème album Ça arrive à tout le monde (P&PP/Booster-PIAS) est sorti au printemps dernier.

Avec Scott Bricklin (guitare), Gérard Prévost (contrebasse), Patrick Gorce (batterie, percussions).

En 1ère partie : Gatshen's

L’alliance d’une voix Française chaude et puissante, et d'un musicien Congolais agile et créatif. Elle : Des accents de folie tirés de ballades nourries d’envolées de jazz, de musiques du monde et d’une intense féminité... Lui : Après de multiples rencontres artistiques, a créé son propre style guitaristique, mélange de rythmes traditionnels et contemporains. Il chante en Français, en Ingala ou encore en " Ndoa " langue imaginaire de son cru. Ces deux créatifs l’un et l’autre mènent en parallèle leur projet musical personnel (Gaëlle Cotte, Pytshens Kambilo).

  • La presse

 " Il nous avait séduit avec ses deux premiers albums " Etre et avoir été " et " Il pleut au paradis " . (Arbon) offre ici la primeur des chansons de son troisième opus " ça arrive à tout le monde " (...) Des morceaux qui conjuguent une fois de plus poésie, humour et malice sur des musiques pop-rock aux accents bluesy. A voir absolument. " Annie Grandjanin, Figaroscope, décembre 2009

 " Arbon débarque en habit, plissement malin au coin des yeux, il commence désinvolte « Moi, j’attrape les hannetons » (...) Le tempo est pop mélodique (...) Mais il évolue aussi vers le rock (Famille), avec des clins d’œil à l’Afrique (Kodjo). Ce qui marque c’est sa plume. Forte. Concise. Parfois caustique. Brassens ne renierait pas son « Peut-on être et avoir été ? », alors qu’ « Harry et René » évoque Bobby Lapointe. " Serge Beyer, Longueur d'Ondes, n°52 Hiver 2009/10

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Spectacle terminé depuis le mardi 8 mars 2011

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