Variation théâtrale sur des textes de René de Obaldia. Il fallait présenter plusieurs visages d’Obaldia sous les traits d’un seul interprète. Théâtre, poésie, romans, récits. Trois personnages pivots (le soldat de l’Azote, la vieille actrice Lila Plombière, l’attendrissant rebelle de Rappening) prennent tour à tour la parole, partant toujours des profondeurs pour jaillir en hymnes légers à la vie, à l’homme, « Seigneur, délivrez-nous de l’homme ! », au monde entier.
« Quand on a une fois goûté à Obaldia, difficile d’y renoncer ! C’est comme la confiture – Turelure- dans laquelle on trempe son doigt et que l’on suce avec un plaisir si souvent renouvelé qu’on finit par l’avaler. Nous n’aurons jamais fini d’avaler les confitures de fantaisie et d’émotion, d’humour et de sagacité, les confitures aigres-douces qu’Obaldia a préparées. Nous y avons simplement goûté et depuis, nous y revenons sans cesse comme à une source intarissable de délices. » Stéphanie Tesson
« Tous les spectateurs qui ont assisté au spectacle des « Obaldiablaries », monté par Thomas Le Douarec, ont été enthousiasmés par Lucien Jean-Baptiste qui interprétait Rappening… C’est un bonheur pour moi de le retrouver à ce bal où nous convie Stéphanie Tesson, bal poétique où le comique et le tragique se donnent la main. Lucien Jean-Baptiste, trois prénoms qui forment un nom – un nom qui va devenir, j’en suis sûr, un grand nom. » René de Obaldia
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