« En chantant Rimbaud, Baudelaire, Genet, Artaud, Kerouac, Césaire, [...] le compositeur Babx ne fait pas semblant d'imiter les plus grands. Il plonge aux sources du romantisme moderne, avalant ces grands crus en ne recrachant que l'ivresse qu'ils procurent. Il frappe les touches de son piano comme on se tape la tête contre les murs pour soulager la difficulté d'être ou caresse celles de son Chamberlin, clavier orchestral ancêtre du Mellotron, pour remplir l'espace qui se dérobe immanquablement sous les pieds des poètes et des amoureux. Babx témoigne. Violoncelle, guitare, percussion renforcent le vertige. »
Jean-Jacques Birgé, Mediapart
5 rue Curial 75019 Paris