"Il annonce aussi la couleur franco quant à ses influences, des rencontres virtuelles ("Renaud, bien sûr, Brel et Gainsbourg, mais aussi Dylan et Eminem") et des véritables qui comptent au moins autant : ses deux musiciens (il dédie une magnifique chanson à son accordéoniste), les femmes de sa vie qui l'inspirent, son "beau-fils" pour qui il écrit le très émouvant et tendre Beau padre et Olivier Vincent : "Il est l'homme de l'ombre par excellence : il a pris le son, mixé et arrangé tout en ayant toujours des conseils très pertinents. Sans lui, ce disque n'aurait jamais existé." Son phrasé entre talk over et rap renforce l'efficacité sobre de ses textes ciselés qui oscillent entre hargne, insolence et tendresse. Enfin, ses mélodies syncopées font mouche. De quoi faire carrière sans avoir besoin d'orémus." Jacques Kasbi, Longueur d'onde, n°33, Hiver 05/06
"Benoît Dorémus poursuit son petit bonhomme de chemin et devrait aller loin. [...] Non seulement sa plume n’est pas près de s’assécher, mais en plus « Benito » innove dans la forme de ses chansons : cet artiste attachant est décidément plein de ressources !" Chorus, les Cahiers de la chanson, N°53, automne 2005
"Dans la lignée de Thomas Fersen pour les chansons en forme de petites histoires et de Christophe Miossec ou de Renaud pour le débit sec et la scansion parfois brutale, Benoît Dorémus est un jeune auteur compositeur interprète à suivre. Portées par des textes à l’écriture ciselée et impertinente, les chansons de son premier album racontent l’amour et la jalousie, l’amitié, la mort d’un proche, le dégoût de notre société moderne… Benoît Dorémus est visiblement un amoureux des mots, bien placés, bien sentis. Il les tord à plaisir dans tous les sens et sur toutes les notes. « Les mots qui sortent, les mots qui rentrent, j’aime trop la douleur que ça laisse dans le ventre… » Tout 1nfo, Sélection Musique été juillet-août 2005
"C'est l'histoire d'un mec… qui écume les cafés parisiens et veut faire carrière dans la chanson. Sans aucune prétention.(...) C'est l'histoire d'une jeune pousse à la voix pas toujours bien posée, mais qui a des choses à dire et le fait avec talent, dans des textes personnels. (...) De Renaud, il a le même phrasé, les mêmes "frangin" ou "gonzesse ". Dorémus est certes sous influences, mais il a un style bien à lui. Un peu poète, un peu insolent, il parle pas mal de lui (Un sale réflexe), d'amour, d'enfance, de potes. Cet album scelle d'ailleurs l'amitié avec ses musiciens Franck Portal (à la basse) et Richard Posselt (aux piano, clavier, accordéon), pour qui il a écrit l'émouvante Accordéon pour cinq d'entre elles. Dans Je viens du cirque, dernière et magnifique chanson du CD, il confie : "J'ai grandi en mon absence." Une belle éclosion à surveiller de près." Chorus, les Cahiers de la chanson, N°48, été 2004
"A 23 ans, Benoît Dorémus est décidément très doué et déjà mature ; espiègle, il étonne surtout par la qualité de ses textes délicats, percutants et poétiques et par sa présence scénique. L'univers de cet orfèvre des mots rappelle celui de Pierre Barouh et de Renaud." Jacques Kasbi / Longueur d'ondes
"Notre dernier coup de foudre. [...] Fan d'Eminem, on sent poindre une fusion novatrice." Jean-Pierre Pasqualini / Platine magazine
"Pas en parler ? Des clous ! Si ça fait penser à Renaud, qui s'en plaindrait ? "Mon style pour pas qu'on me le fauche, j'écris faux, je chante de la main gauche". A bon entendeur... Des images fortes, des histoires, une facture textuelle qui fait mouche. Un vrai 1er disque. A suivre illico." Le Centre de la chanson
"[...] Voila quelqu'un qui a une vraie écriture, c'est le moins que l'on puisse dire ! [...]" Alligre FM
" Benoît Dorémus… est un jeune artiste de 24 ans dont les influences s’étendent de Renaud à Eminem… Et pourtant ne vous y trompez pas, s’il a gardé la poésie du premier et l’énergie du second, Benoît a son univers bien à lui… un univers dans lequel on est bien… Il faut dire qu’il y en a pour tous les goûts chez ce jeune chanteur-écrivain qui se partage entre Paris et Metz… Des accents de valse, de pop, de rap, d’accordéon… de chanson française… le seul point commun parmi tout ses morceaux, c’est le talent… Alors écoutez bien, plus tard vous pourrez dire que vous l’aurez entendu avant tout le monde… Une dernière chose : Benoît est amoureux et ça s’entend…" France Bleu
"Benoît Dorémus, chanteur-écrivain pudique dévoilé par sa plume confidente, apporte à la "nouvelle scène française", pieuvre étouffée par ses tentacules, ce qui lui manque depuis quelques temps : une énorme inspiration. Talentueux, le bonhomme l'est, c'est certain. Son album, Pas en parler, scande chapitre après chapitre des mots qui touchent, entre rires et sanglots. Vibrant comme un journal intime, il s'abreuve à la même source que toutes les oeuvres nécessaires à leur auteur : un flot de bile charriant un lit de pétales. La métaphore d'un paradoxe ancré dans sa chair, qui le voit avouer en chansons ce qu'il devrait garder pour lui, brûlé par le feu d'être aimé pour son art. La rançon d'une écriture sincère, à fleur de peau, qui vainc en se livrant. Alors bien sûr, il y en aura, des code-barres, apposés sur sa tête par les maniaques de la référence. Mais Benoît Dorémus n'est pas un artiste binaire, analysable en une fraction de secondes, par lecteur optique. "Entre Renaud et Java" vous diront-ils, pour vous donner une idée. Il est vrai, Doremus (fa sol la si do) a coutume de poser sur un air d'accordéon son timbre mal assuré, proche du premier cité. Mais son phrasé énergique, presque rappé sur certaines chansons, laisse souvent place à un filet funambule, en équilibre sur le fil de l'émotion. (...) " M la Music, septembre 2005
" Attention talent ! Ce garçon-là a tout pour rendre jaloux ses confrères chanteurs issus de la nouvelle génération qui monte. Pourtant "La Jalousie est un poison qui rend con", c'est lui qui le dit, dans un de ses excellents textes écrits aux petits oignons pour nos oreilles musicophiles. Benoît Doremus est bien parti pour, un jour, embrasser ses rêves artistiques et rejoindre son double fantasmé Adésias Benito, le chanteur écrivain. On ne peut que vous encourager à découvrir l'univers fort et sans concession de ce jeune artiste qui a la rage, l'audace et le génie de son époque. Quant à dire (comme cela se chuchote ici et là) qu'il est le nouveau Renaud, ce serait une grave erreur très réductrice, car il n'a rien à envier à personne et son style est unique et inimitable." Le Mague.fr, juillet 2005
15, rue des Blancs Manteaux 75004 Paris