Les premières maîtresses ne laissent pas toujours de souvenirs inoubliables.
Mais on garde un grand respect pour celles qui nous ont inculqué les rudiments d’une certaine connaissance.
Sans me vanter, bien que je fusse très jeune, j’en ai aimé quelques-unes qui exerçaient une véritable fascination sur mon esprit et mon cœur crédules.
C’était une époque, il faut dire, où leur théâtre n’était pas adapté à la vie. Malgré leur absolutisme, je les sentais seules. C’est pourquoi elles ont joué insidieusement sur mes émotions.
Si Bonjour Maîtresse est, à plusieurs titres, une fantaisie, dont l’intention est surtout d’amuser, c’est aussi l’évocation d’une image, d’un symbole, qui cherche encore à se faire aimer.
« Il y a en Chantal Bronner une naturelle rugosité qui donne à ses relations avec les élèves -c'est à dire vous les spectateurs- quelque chose de parfois brutal. Elle donne de la pulpe et de la sensibilité à ce personnage déjanté. » Figaroscope le 27 novembre 2013
« Un petit moment, délicieux, délicat, complètement fou. A découvrir d'urgence. Une comédienne sensible, fine, très intelligente. Elle nous fait rire et nous bouleverse. » Le Figaro le 15 novembre 2013
« Chantal Bronner nous fait rire et nous bouleverse. On y croit profondément à cette femme surgie de l'impasse et qui disparaît comme elle est entrée après avoir mis son coeur à nu. Un petit moment, délicieux, délicat, complètement fou. A découvrir d'urgence. » Figaro Magazine le 15 novembre 2013
« Chantal Bronner apporte au personnage une appréciable dimension et une touchante profondeur avec intensité, fragilité, vérité et complexité. Le moment est porté par une interprète de choix soigneusement dirigée par Olivier Balazuc. » Fous de théâtre le 14 novembre 2013
Avec un regard tendre et fou, Chantal Bronner se dévoue totalement au texte, un peu convenu mais acide et poétique à souhait.
Avec un regard tendre et fou, Chantal Bronner se dévoue totalement au texte, un peu convenu mais acide et poétique à souhait.
75, boulevard du Montparnasse 75006 Paris