Musique !
Note d'intention
La presse
Il nous a fait partager l'humanité du monde des harmonies municipales avec Le Banquet de la Sainte Cécile, cette fois Jean-Pierre Bodin revient à Paris pour nous parler des musiciens de bal et de ceux qu’ils font danser.
Accompagné de trois musiciens, Jean-Pierre Bodin nous donne à voir et à entendre des histoires, des anecdotes, des farces, des chansons à écouter et de la musique à danser.
Trois ou quatre musiciens entrent en scène, au centre d'une salle des fêtes, sous un parquet de bal. Ils déchargent leur matériel, et nous transportent dès lors dans leur univers. Celui du samedi soir, des thés dansants, des bals du 14 juillet, des mariages et des anciens combattants ou encore celui des pompiers, de la foire exposition, du club des aînés ruraux, des vampires et des débutantes… Acteurs et observateurs, ils vont nous transmettre cette vie, leur vie et celle de ceux pour qui ils jouent.
Il y a le premier accordéon, les fausses notes, les fins enivrées, les bagarres et les embrassades, celles et ceux qui font tapisserie, les orteils écrasés, le musicien qui s’endort d’épuisement, le réveil des mariés en fanfare…
Au gré de l'installation des tréteaux, de la sono, des éclairages, des instruments de musique, ils vont donner à voir et à entendre des histoires, des blagues, des anecdotes, des chansons à écouter et de la musique à danser. Le tout dans une ambiance foraine, qui m'est chère. La buvette n'est pas loin et les spectateurs seront conviés à danser et à changer de cavalières et de cavaliers tout en sirotant un incomparable rouge limé...
Avec la complicité artistique d'Hervé Pierre de la Comédie Française et de Sylvie Reteuna.
« Au travers du musicien de bal, tel un acteur ethnographe, j'aimerais une nouvelle fois vous raconter ce peuple fraternel qui nous émerveille et nous effraie. Être un passeur d'une chronique douce-amère, un colporteur de réalité, en excitant notre imaginaire, c'est la recherche et l'ambition de mon travail. Tel un délégué du public, j'aimerais peindre des portraits, et donner à voir des silhouettes créées par les mots. »
Jean-Pierre Bodin
"On imagine Jean-Pierre Bodin choisissant ses mots et ses couleurs avec minutie, avançant à pas menus dans le tissage du tableau. Parti d'un détail si tenu qu'il ne dit rien de l'ensemble, il avance comme le peintre de fresques qui a l'oeil rivé sur le motif. C'est dans cette posture qu'il met le spectateur qui voit, au fil du spectacle, se déployer et s'animer une scène de genre pittoresque et haute en couleurs." Corinne Denailles, webthea
"Il évoque l'univers des bals, ses musiciens, ses danseurs, les bagarres de fin de fête, les amours naissantes ou passagères... Les filles d'un côté, les garçons de l'autre se retrouvant le temps d'un pas de deux sur la piste... Ceux qui préfèrent s'accouder au bar de la buvette. Il y a surtout l'histoire de Jeannot, l'accordéoniste qui passe sa vie à courir les bals, les fêtes, les mariages... [...] Bertrand Péquèriau, Eric Proud et Bruno Texier, trois excellents musiciens, font partie intégrante du spectacle, complices jusqu'au bout de la note et du verbe. [...] A la fin, le spectateur devient acteur, entrant dans le bal, buvant un coup de "rouge limé", avec modération, comme de bien entendu ! En revanche, ne vous privez pas sur le spectacle, car il nous chante l'air du "j'y reviendrai"." Marie-Céline Nivière, Pariscope
"Dans le nouveau spectacle, présenté au théâtre Artistic Athévains, Jean-Pierre Bodin est, à nouveau un conteur et un passeur d'histoires de gens simples dans la réalité rurale qu'il connaît bien. Il tente de capter l'âme des bals populaires à la campagne à travers des anecdotes, des silhouettes de personnages qu'il dessine avec des mots, comme celle de Jeannot qui joue de l'accordéon depuis l'enfance. L'ensemble donne l'impression d'un spectacle de colportage qui restitue des moments fugitifs du passé, des traces de la mémoire populaire rurale de la seconde moitié du XXe siècle. Sur la scène, il y a trois musiciens très bons et une quinzaine d'intruments qui accompagnent Jean-Pierre Bodin. Ca swingue, ça valse, ça danse." Sylviane Bernard-Gresh, France Info
"Bodin raconte et chante un temps d'hier, accompagné par trois musiciens aux rythmes entraînants : Bertrand Péquériau, Eric Proud et Bruno Texier. Ils font revivre l'atmosphère des bals parquets et tout se termine par un tour de valse." Annie Chenieux, JDD
"Après le succès continué du Banquet de la sainte Cécile, qui racontait l'humanité du monde des harmonies municipales, ce nouveau spectacle plonge dans celle du peuple fraternel des petits bals où s'écrasent les orteils, naissent les bagarres et les idylles et chavirent les coeurs..." Catherine Robert, La terrasse
"Le talent sans pareil de conteur de Jean-Pierre Bodin, son sens croquignolet de l'anecdote, son regard aussi juste qu'aigu sur cette petite "communauté humaine", comme il l'appelle. Ce qui prime ici, c'est la chaleur, la tendresse vraie, la fraternité, comme si toutes ces histoires qu'il réinvente à partir de sa mémoire, de témoignages ou d'enquêtes, étaient d'abord les siennes, leur vérité se fondant dans sa propre vérité." Didier Méreuze, La Croix
"Un spectacle charmant, entraînant, débordant de bonne humeur, qui donne au public envie de danser. Et Jean-Pierre Bodin réalise ce voeu car il joue à la fin plusieurs morceaux, tout en servant du rouge-limé pour que l'atmosphère ressemble tout à fait à celle de ces bals, tant appréciée." Jean-Claude Rongeras, france 2
"Si vous voulez commencer l'année gaiement, il y a bal tous les soirs aux Artistic Athévains, sans chichi, car les souliers vernis ne sont pas obligatoires..." D. Dumas, théâtres
"C'est la France des gens d'en bas, comme disait M. Raffarin, celle des fanfares et des harmonies dont Jean-Pierre Bodin en formidable conteur, nous entretient. De ses bals, des ses fêtes rurales avec ses bagarres, ses petites histoires de village et ses mariages où on ne boit pas que de l'eau. Le spectacle se termine par un bal et, bien sûr, par un coup de rouge limé ; à ce moment-là, on se croirait plutôt à Chauvigny dans la Vienne qu'au métro Voltaire, même si, autrefois, l'Artistic était voué aux délices du caf-conç. A voir : oui, si vous voulez voir un spectacle un peu hors normes qui associe subtilement, à l'exemple des meilleures comédies musicales, la chanson, le texte et la musique instrumentales de belle qualité... qu'Anne-Marie Lazarini a bien fait d'inviter." Philippe du Vignal, théâtre du blog
"Conteur, chasseur d'histoires, ethnographe de la chronique du temps passé, collecteur d'événements mémorables et drolissimes, tel l'hilarant épisode de la chemise Guétary, et concocteur de chansons originales, il dresse une fresque d'une France aux plaisir et aux petits bonheurs simples peuplée de figures hautes en couleurs et fortes en gueule à la manière des chroniques villageoises dans la veine qui puise à la fois dans "Le bal" d'Ettore Scola, des plaisirs de la chair et de la chère à la Bérurier de Frédéric Dard et des chroniques de Philippe Delerm. Un plaisir à ne pas bouder ... d'autant que le bal ne s'achève pas avec le salut au public." MM, froggy's delight
"A travers des anecdotes, des silhouettes qu'il dessine avec les mots, Jean-Pierre Bodin, auteur, acteur, conteur, chanteur, un peu funanbule aussi tente d'"attraper" l'âme des bals à la campagne. Trois très bon musiciens, parfois travestis de manière burlesque, et une quinzaine d'instruments accompagnent le récit. Cet univers tendre et poétique, drôle parfois, donne l'impression d'un spectacle de colportage qui restitue des moments fugitifs, des traces de la mémoire populaire et rurale." Sylviane-Bernard Gresh, Télérama Sortir
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