Cocorico

Du grand art comique
Dans la lignée des grands anciens, Keaton, Tati, de Funès ou Chaplin, Patrice Thibaud ne dépare pas. Virtuose, irrésistible, son spectacle fait rire et sourire comme rarement. Une perle d'humour, de fantaisie et de légèreté ! Tout public.

Tout public.

Du grand art comique
Cocorico en quelques mots…
Un retour aux sources
Une histoire de rencontres

  • Du grand art comique

Patrice Thibaud et Philippe Leygnac pourraient être des Laurel et Hardy à la française. L’un est maladroit et un peu timide. L’autre est habile et vif. Sans un mot, ils se jaugent, ils s’agacent, ils se fuient pour se chercher dès qu’ils ne se voient plus. Tous deux jouent, rêvent ou jouent à rêver. Ils croisent le Tour de France, un défilé de majorettes, une mare aux canards ou encore un dresseur de fauves. S’appuyant sur la mémoire collective, ils s’inscrivent dans la lignée de Charlie Chaplin, Buster Keaton et Jacques Tati.

Un spectacle universel qui a déjà conquis les spectateurs du monde entier, à voir en famille au plus vite. C’est drôle. C’est beau. C’est poétique. C’est Cocorico.

  • Cocorico en quelques mots…

« Ce spectacle, je le fais aussi pour mes enfants, pour les faire rire et éduquer leur regard, pour qu’ils voient le monde avec humour et philosophie comme ont su, je crois, si bien le faire mes grands-pères avec moi. » Patrice Thibaud

Un spectacle basé sur la virtuosité corporelle de Patrice Thibaud et son sens de l'observation, qui évoque avec humour et poésie nos espoirs et nos défauts, nos habitudes et nos perditions, nos manies et nos tendresses. Un duo avec un sens du rythme intégré. Patrice Thibaud n'imagine pas son monde ni son spectacle sans musique. Et de toutes les personnes qu'il a croisées, il n'imagine personne d’autre que Philippe Leygnac, musicien multi-instrumentiste mais aussi comédien - voire acrobate - et dessinateur.

Un texte où la parole est à la musique et au corps.

Patrice Thibaud et Philippe Leygnac, révélés au grand public dans les spectacles de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff, font avec Cocorico le grand saut mis en délire par Michèle Guigon et Susy Firth

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  • Un retour aux sources

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu besoin d’exprimer mes sentiments et ma vision du monde sous l’angle de la comédie ; sans doute pour cacher une hypersensibilité, une fragilité et une certaine mélancolie dues à une enfance mouvementée. Faire rire était pour moi vital, une façon de vérifier que j’avais bien ma place ici, une échappatoire aux petits drames de nos vies. Un travail de chaque instant où l’observation du monde m’inspirait mille prétextes de jeux et d’imitation. Par un enchaînement de hasards et de rencontres, j’en ai fait mon métier.

Curieux de toute forme d’interprétation, j’ai eu très vite le désir et l’opportunité de me confronter à des styles très différents ; oeuvres classiques, contemporaines, spectacles de rue, cinéma et télévision, de quoi assouvir mon appétit de jeu et mon besoin d’apprendre depuis vingt ans.

Il est aujourd’hui nécessaire pour moi de revenir à l’essentiel : le mime. Le geste avant la parole, un retour au premier langage, au moyen de communication originel, compris de tous, universel. Il sera la base de ce spectacle. Par le langage du corps, il s’agit d’éviter le superflu, de suggérer plutôt que de montrer, d’évoquer plutôt que d’affirmer. De laisser libre cours à l’imaginaire du spectateur, en lui donnant l’espace suffisant pour lui permettre de compléter la proposition et d’y apporter ses propres images, sa propre sensibilité. Pour l’y accompagner, la musique soutient et souligne le propos de la pantomime, comme une chorégraphie. La musicalité du corps en hommage à Keaton, Chaplin, Tati ou De Funès.

Patrice Thibaud

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  • Une histoire de rencontres…

...Et de retrouvailles. Le prolongement d’un travail et d’une connivence. Patrice Thibaud et Michèle Guigon ont créé ensemble Duo, histoire d’amourire en 1994, mis en scène par Susy Firth au sein de la Compagnie du P’tit Matin. De là est née leur amitié, solidement cousue par le fil de l’humour - qu’il soit français ou anglais - et l’envie de continuer, dans une autre aventure, ce travail de création mêlant humour, dérision et gravité.

C’est avec la complicité de Michèle que Patrice crée ses premières performances lors des spectacles du Cabaret du P’tit Matin. C’est là que Patrice Thibaud et Philippe Leynac se croisent pour la première fois. Mais leur vraie rencontre s’effectue sur le spectacle Les Etourdis de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Patrice et Philippe créent par la suite des numéros visuels pour l’ouverture du Festival de Salzbourg en 2006. Leurs saynètes témoignent de l’immense inventivité musicale de Philippe et de l’incroyable précision du geste de Patrice. Elles révèlent une complicité et mettent en scène notre quotidien en instantané comique.

La cohérence de l’écriture de Cocorico tient en grande partie au rythme. Il s’agira d’accorder, de désaccorder, de faire s’entrechoquer le rythme inné de Patrice et celui acquis et maîtrisé de Philippe pour donner à voir la chorégraphie de la pantomime. Retrouver le côté enfantin du jeu, se laisser porter un temps par ce que le plateau suggère. Comme les mômes, faire comme si.

Michèle Guigon et Susy Firth

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  • La presse en parle

« Cette conférence irrésistible arrache des rires aux cœurs les plus secs. C'est spirituel et tendre, cocasse et cela s'adresse à tous les publics. Courez-y en famille ! » Le Figaroscope

« Dans l'art du mime, Patrice Thibaud s'impose en maître avec un registre et une inspiration sans limite. C'est prodigieusement drôle, pétri d'humanité tendre et de poésie. » Journal du Dimanche

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Informations pratiques

Théâtre Jacques Carat à Cachan

21, avenue Louis Georgeon 94230 Cachan

Accès handicapé (sous conditions) Bar Grand Paris Val-de-Marne
  • Bus : Place Jacques Carat - Théâtre à 56 m, Mairie de Cachan à 242 m
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Plan d’accès

Théâtre Jacques Carat à Cachan
21, avenue Louis Georgeon 94230 Cachan
Spectacle terminé depuis le vendredi 4 novembre 2011

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