Concert de Yann Tiersen

 
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Chanteur-musicien, formé à l’école classique, Yann Tiersen séduit par son style romantique et enjoué. Il passe du violon à l’accordéon, de l’accordéon au mélodica, du mélodica au piano avec une agilité d’équilibriste.
Plusieurs réalisateurs sont tombés sous le charme de ses ambiances maintes fois qualifiées de « cinématographiques » (Eric Zonca pour La vie rêvée des anges, Jean-Pierre Jeunet pour Le fabuleux destin d’Amélie Poulain,…). Ses collaborations aussi riches que variées (Dominique A., Les Têtes Raides,…) ont enrichi sa musique. Si L’Absente, son dernier album est le plus ambitieux, il est aussi le plus abouti. Il laisse comme toujours une part belle aux chansons mais rompt par contre avec l’image de multi-instrumentaliste minimaliste pour endosser celle de chef d’orchestre. Une mise en scène originale fait de chacun de ses concerts un moment d’émotion. Bienvenue dans cet univers lyrique et poétique.

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Musicien classique « dévoyé » passé dans le camp des arts populaires, le petit maestro en cuir noir a cette fois quitté l’univers purement instrumental pour s’ouvrir à la chanson. Un apport crucial dans l’univers hybride et débordant de cet apprenti sorcier qui n’aime rien tant que mêler violons et tambours, musique de chambre et fanfare foraine, valse musette et crincrins mécaniques. De l’art d’acclimater un joyeux chaos aux impératifs du refrain-couplet… Virgin Mégapresse

La trame minimaliste de ses débuts discographiques (La Valse des monstres en 1995) a évolué depuis Le Phare (1998) vers un univers plus complexe, riche étoffe que d’autres artistes viennent tisser.
L’alliage accordéon-clavecin est toujours captivant, les ondes Martenot, le vibraphone font respirer la tristesse, les cordes tricotent de l’inexorable, la fanfare des Têtes Raides épaule l’esseulé, promet une fête puis la fait basculer en danse sur un volcan…Sans cesse L’Absente surprend, subjugue. Télérama

Accompagné d’un quatuor à cordes, il passe de l’accordéon au piano ou au violon. Magie de l’instrument, pouvoir de l’accoustique sur l’électronique, Tiersen parvient à faire taire la salle au moyen de son seul archet. Le musicien-chanteur évolue dans des atmosphères dépouillées, et c’est dans un presque silence que ses thèmes intimistes prennent corps. C’est le cœur qui parle ici, manière pour lui de « quitter le périmètre de son ombre portée » pour nous faire découvrir d’autres rives. Un concert intense applaudi par un public debout. L’Humanité

… car de la bande originale de films à ses concerts, en passant par l’écriture de musique pour le théâtre, Tiersen n’en finit pas de nous émerveiller de ses trouvailles oniriques, de son sens de la poésie musicale, de son univers mêlant habilement David Lynch à Nino Rota, Wim Mertens à Léo Ferré, ou bien encore le minimalisme aux arts forains. Et l’Absente, sa nouvelle livraison, de confirmer que Tiersen a encore d’inépuisables réserves pour continuer de nous surprendre. Optimum

Compositeur d’abord, mais aussi chef d’orchestre, arrangeur, multi-instrumentiste, producteur, Yann Tiersen touche à toutes les musiques avec talent et virtuosité.Nice-Matin

Les premières notes reprennent la mélancolie que Yann Tiersen distille depuis six ans. Puis, tout d’un coup, apparaît un air de fête que vient donner une mini-fanfare composée de pianos miniatures, de cloches et de cordes. Entrez messieurs, dames, l’homme-orchestre Yann Tiersen va offrir une aubade, un arc-en-ciel de sentiments. La Voix du Nord

Premier grand coup de cœur de ce Printemps. Mais qu’est-ce qui plaît chez Tiersen, compositeur et arrangeur bien avant d’être chanteur ? A la fois, sans doute, la fragilité de ses morceaux, souvent tristes ; la beauté immédiate de ses mélodies : son extraordinaire faculté de passer d’un instrument à l’autre, les mettant tour à tour en valeur. Et puis la qualité de ses compagnons de scène.Ouest France

Le résultat est brillant. Yann Tiersen n’est plus seulement le multi-instrumentaliste doué et solitaire de La Valse des Monstres. Le voilà aujourd’hui chef d’un orchestre sans queue ni tête, à partir duquel il a su dresser un ensemble cohérent de bout en bout. On a des passages lancinants des morceaux à boire, des instrumentaux touchants, et même parfois festifs. Presse Océan

Sur scène, entouré de multiples instruments et musiciens qui se relaient au fil de compositions riches et très maîtrisées, Yann Tiersen évolue dans un environnement qui semble lui convenir. Capable de passer du violon à l’accordéon, puis de s’installer au piano et de jouer de la flûte en même temps, il impressionne encore bien plus par une présence qu’il n’impose pas. Reflets DNA

Exit le minimalisme maniaque, le tout instrumental solitaire ou les petites fugues entre amis. Cette fois, Tiersen prend du tonus et du volume. Donne le tournis aux mélodies sur son étincelant manège à chevaux de bois. Mélange en un fabuleux carrousel, envolées classiques en queue de pie et romances de quat’sous, parades de foires foraines et grands élans romantiques .Le Progrès

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