L’arpeggione a bel et bien disparu mais la sonate que Franz Schubert a composée pour cet éphémère instrument reste l’une de ses plus belles pages de musique de chambre et un must pour tous les violoncellistes. Tout comme la solitaire sonate de Chostakovitch, œuvre tourmentée et méditative, cheval de bataille jadis de Mstislav Rostropovitch et aujourd’hui de Pieter Wispelwey. Pour le suivre dans ces aventures, le violoncelliste néerlandais trouve chez Cédric Tiberghien un partenaire à la hauteur de sa fantaisie.
Programme :
Franz Schubert, Sonate D.821 « Arpeggione »
Dimitri Chostakovitch, Sonate pour violoncelle et piano en ré mineur opus 40
15, avenue Montaigne 75008 Paris