Cette proposition présente des recherches d’artistes mettant le corps au cœur de leur travail. Ainsi lors de cette déambulation au sein du théâtre, Corps en plastique propose des travaux de plasticiens et performeurs. Laurent Chanel expose notre relation à la gravité, Elizabeth Saint-Jalmes met son corps en jeu avec des sculptures qu’elle active et la lumière devient malléable entre les mains de Cyril Leclerc.
De et par Laurent Chanel
En deçà des variations individuelles et des constructions collectives, il y a une identité commune qui nous relie. Elle est notre condition temporelle et spatiale : un corps mortel qui a un poids.
De et par Cyril Leclerc
Traditionnellement au théâtre la lumière vient révéler les corps et le décor, il s’agira d’inverser ce postulat et engager le corps comme révélateur de la lumière. Manipulée et modelée, pensée comme une énergie brute, une matière malléable, la lumière est activée par le corps qui la transforme et la modifie.
De et par Elizabeth Saint-Jalmes
Une femme sur un banc, transporte deux énormes cabas desquels elle sort de drôles de matières - formes. Entrées au contact de son corps, elles en modifient l’état, la fonction, le sens.
Dans le cadre du Festival Avis de turbulences, 8ème édition.
16, rue Georgette Agutte 75018 Paris