Jacques et Martine invitent à dîner deux amis perdus de vue depuis dix ans : un écrivain et journaliste à succès et sa femme. Alors que les autres convives les attendent, ils arrivent, au prétexte d'un embouteillage, avec deux heures de retard...
Prisonniers de leur immense solitude et réunis par un dîner, les personnages de Cuisine et dépendances qui portent tous au salon le masque du « paraître bien » se dévoilent petit à petit dans la cuisine où apparaissent les symptômes de leur mal-être respectif. On peut voir que d'un agacement passager à une mauvaise humeur maladive, que de la surexcitation incontrôlable à la crise de larme prévisible, ces personnages à la fois complexes et transparents dressent le passionnant tableau d'une génération parisienne de classe moyenne. Au désir de réalisation personnelle, de réussite sociale, s'ajoute la difficulté de chacun à vivre avec l'autre ou tout simplement avec soi même.
La pièce fait vivre des personnages souvent émouvants, parfois drôles en quête d'un (im)possible bonheur.
Distribution en alternance.
Bonne troupe ! bon spectacle!
Pas facile de reprendre Bacri/Jaoui, tant on a été marqué par la pièce original et le film. la troupe de l'heure du T relève le défi avec brio, et nous propose une version très réussie. A voir ! Longue vie à la troupe et au théâtre à la folie !
Pour 2 Notes
Bonne troupe ! bon spectacle!
Pas facile de reprendre Bacri/Jaoui, tant on a été marqué par la pièce original et le film. la troupe de l'heure du T relève le défi avec brio, et nous propose une version très réussie. A voir ! Longue vie à la troupe et au théâtre à la folie !
8, rue de Nesle 75006 Paris