Raffinement des timbres, velouté chambriste, improvisations électriques, le nouvel opus Won’t put no flag out du Velvet Revolution du saxophoniste Daniel Erdmann a la puissance des paysages qui, sans crier gare, nous imposent leur délicatesse. Accompagné au violon et au vibraphone des talentueux Théo Ceccaldi et Jim Hart, le trio germano-franco-britannique déborde, à discrétion, d’élégance sonore, de volutes virtuoses. Après plusieurs passages remarqués dans nos murs, ils reviennent enjôler nos oreilles de leur nouveau répertoire.
Raffinement des timbres, velouté chambriste, improvisations électriques, le nouvel opus Won’t put no flag out du Velvet Revolution du saxophoniste Daniel Erdmann a la puissance des paysages qui, sans crier gare, nous imposent leur délicatesse.
Accompagné au violon et au vibraphone des talentueux Théo Ceccaldi et Jim Hart, le trio germano-franco-britannique déborde, à discrétion, d’élégance sonore, de volutes virtuoses.
Après plusieurs passages remarqués dans nos murs, ils reviennent enjôler nos oreilles de leur nouveau répertoire.