Dans cette pièce le chorégraphe Max Diakok s'est librement inspiré de la Conférence des Oiseaux du poète persan Farid Al-Din Attar, qui interroge le monde et invite au voyage intérieur.
La machine à uniformiser et à déshumaniser n’a de cesse de trouver de nouveaux modes opératoires dans ce chaos-monde. Malgré tout, les aspirations au rêve et à la singularité, parviennent à s’infiltrer dans les interstices du rouage. Les utopies têtues persistent. D’autres naissent. Cette pièce librement inspirée de la Conférence des Oiseaux du poète persan Farid Al-Din Attar, interroge le monde et invite au voyage intérieur.