Deux récits : L'Accompagnatrice, d'après l'oeuvre de Nina Berberova, Orchampt, de Harold David.
Deux récits "à fleur de larmes", deux quêtes initiatiques, sous forme de diptyque, à voir et à entendre l'un après l'autre : Dans L'Accompagnatrice, Sonetchka entre au service de Maria, une célèbre cantatrice et n'aura de cesse de lui faire payer la perfection insupportable qui la caractérise. Dans Orchampt, le P'tit croise la route de Dalida, devant sa maison. Et si quelqu'un avait assisté, impuissant, au suicide de la star ?
Extraits de presse
" La beauté de la mise en scène (...) et le jeu exceptionnellement sincère et émouvant des comédiens, ont tenu le public en haleine pendant deux heures. De l'émotion. De la sublimation. (...) Bref, un spectacle qui en aura touché plus d'un. " Céline Novelli, Le Dauphiné Libéré
" Il faut souligner la grande qualité d'ensemble du spectacle, (...) la qualité des lumières, le travail très soigné de mise en espace, (...) le soin mis dans la précision du détail. " Bernard Proust, Agora Pièces
" Deux récits à fleur de larmes (...) Le spectateur se laisse peu à peu gagner par tant de sincérité (...). On se laisse volontiers embarquer dans cet univers humide (...). On est heureux d'avoir assisté aux débuts avignonnais de Harold David. Son Orchampt prouve qu'il a plein de chose à nous transmettre. On attend la suite avec impatience." Jean-Louis Châles, La Marseillaise
" Orchampt ne manque pas de qualités d'écriture. Le monologue tient en haleine le spectateur et est maîtrisé d'un bout à l'autre par Antoine Smadja, impressionnant et terrifiant. Au terme de ce " Diptyque ", la révélation d'un écrivain, Harold David. " Aurélien Terraza, La Provence
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