Au cours des années 1670, à Paris, un homme rend visite tous les jours à une femme qui est en train d'inventer le plus beau roman du monde. Cette suite de dialogues entre la comtesse de La Fayette, née Pioche, et le Duc de la Rochefoucauld, imagine plaisamment la genèse du roman La Princesse de Clèves.
Au cours des années 1670, à Paris, un homme rend visite tous les jours à une femme qui est en train d'inventer le plus beau roman du monde. Il relit ce qu'elle écrit, il corrige, il conseille. Cette suite de dialogues entre la comtesse de La Fayette, née Pioche, et le Duc de la Rochefoucauld, imagine plaisamment la genèse du roman La Princesse de Clèves. Entre ces deux-là, l'amitié eut la force d'un amour dont l’enfant fut un livre.
« Un savoureux dialogue entre le duc de La Rochefoucauld et Madame de La Fayette autour de l'écriture de La Princesse de Clèves. Une ode à l'amitié et à l'émulation créative, joliment incarnée par François-Eric Gendron et Sabine Haudepin. » Les Échos
« La mise en scène de Nicolas Vial accompagne parfaitement la partition qui magnifie le goût de la belle langue, du vocabulaire précis et de la syntaxe élégante. Dans un décor de boudoir-bureau sous les belles lumières de François Loiseau, devisent, au fil des ans, Madie, la femme de lettres, et François, le moraliste et mémorialiste, superbement incarnés par Sabine Haudepin et François-Eric Gendron. Au diapason et en synergie, ils forment le délicieux duo d’amis indéfectiblement liés et distillent de manière émérite ces subtils échanges de haute volée. » Froggy's Delight
« Invitation à entrer dans les coulisses fantasmées d’un chef-d’œuvre. » Télérama TT
« Un brillant dialogue entre Madame de la Fayette et Monsieur de la Rochefoucauld, incarnés par Sabine Haudepin et François-Éric Gendron. » Le Quotidien du Médecin
« Le rideau de cette saison s’est levé sur la genèse d’un chef-d'œuvre d’horlogerie, qui est aussi la plus jolie pièce de Besset. » Service Littéraire
Un duo d'acteurs au sommet dans une pièce qui traite avec subtilité de la création littéraire du roman de la princesse de Clèves dans une langue châtiée. Le tout sur fond d'amitié entre ces deux célèbres protagonistes de l'histoire. Un immense bravo
Désolée mais la ficelle est trop grosse pas d'bol, Duc ! Intello bobo ma non tropo. S'il est de bon ton d'apprécier ce type de théâtre réservé à un public amateur ,l'Art du paraître n'est pas dans ma culture ! Sorbonneuse je suis avec un goût prononcé pour la poésie et la littérature (18 au bac Français m'autorise ce p'tit coup de gueule !!!). La recette est bonne et servie à loisir au Poche. Rien ne vaut l'entre-soi pour donner un avis d'une seule et unique voix mais cela sert-il vraiment le Théâtre et les œuvres qui sont, de fait, reléguées au rang de "faire valoir" pour séduire un type de public unique ! Monsieur Gendron est un Duc parfait et un excellent comédien quant à Mme de la "Faillite".... Franchement relisez la Princesse ou les Essais (vous les avez en poche) et allez vibrer ensuite au Théâtre.... comme vous pouvez le constater, je n'ai pas ma langue dans la poche!
Les interprètes nous font oublier chat gps en analysant la naissance d'un roman du 17 ème siècle.
Pièce remarquablement bien jouée. Le charme de Sabine Haudepin est irrésistible, son jeu éblouissant. De même pour Frnçois-Eric Gendron. Le texte est un trésor de belle langue française. Soirée sublime
Pour 9 Notes
Un duo d'acteurs au sommet dans une pièce qui traite avec subtilité de la création littéraire du roman de la princesse de Clèves dans une langue châtiée. Le tout sur fond d'amitié entre ces deux célèbres protagonistes de l'histoire. Un immense bravo
Désolée mais la ficelle est trop grosse pas d'bol, Duc ! Intello bobo ma non tropo. S'il est de bon ton d'apprécier ce type de théâtre réservé à un public amateur ,l'Art du paraître n'est pas dans ma culture ! Sorbonneuse je suis avec un goût prononcé pour la poésie et la littérature (18 au bac Français m'autorise ce p'tit coup de gueule !!!). La recette est bonne et servie à loisir au Poche. Rien ne vaut l'entre-soi pour donner un avis d'une seule et unique voix mais cela sert-il vraiment le Théâtre et les œuvres qui sont, de fait, reléguées au rang de "faire valoir" pour séduire un type de public unique ! Monsieur Gendron est un Duc parfait et un excellent comédien quant à Mme de la "Faillite".... Franchement relisez la Princesse ou les Essais (vous les avez en poche) et allez vibrer ensuite au Théâtre.... comme vous pouvez le constater, je n'ai pas ma langue dans la poche!
Les interprètes nous font oublier chat gps en analysant la naissance d'un roman du 17 ème siècle.
Pièce remarquablement bien jouée. Le charme de Sabine Haudepin est irrésistible, son jeu éblouissant. De même pour Frnçois-Eric Gendron. Le texte est un trésor de belle langue française. Soirée sublime
1h15 de plaisir quand on aime La princesse de Clèves, ce bijou de la littérature du XVIIe s. Les 2 acteurs sont excellents. Un spectacle vraiment réjouissant
Quel beau spectacle! Celui de l.amitié entre un homme et une femme dans un dialogue d une grande finesse , autour de la naissance du roman de Madame de La Fayette : La Princesse de Clèves. Tous ceux qui ont lu cette œuvre devraient aller voir la pièce! Les acteurs sont remarquables.
Un véritable bonheur que d'assister à ces échanges entre 2 personnages qui sur un ton badin font ressortir tout l'esprit du grand siècle français. Comédiens au sommet de leur art. L'exigüité des lieux renforcent l'impression d'entre soi. Bravo
On découvre les personnages et l'œuvre au travers d'un dialogue où l'humour a toute sa place. C'est un vrai bonheur d'assister à cette pièce.
Une délicieuse conversation intime où la délicatesse du propos n'a d'égale que la légèreté du badinage. François-Éric Gendron rayonne, en compagnie de l'espiègle Sabine Haudepin, au son énivrant du clavecin. Jean-Marie Besset et Nicolas Vial nous offrent là de charmantes saynètes au temps du Grand Siècle : le décor, notamment, est somptueux.
75, boulevard du Montparnasse 75006 Paris