Paris. Une station de métro. Du monde, du bruit, du monde... encore du bruit... Des enfants, des hommes, des femmes, puis elles. Elle. Son regard, semblable mais différent. Son attitude, banale mais peut-être pas. Elle est ce que beaucoup trop de personnes sont. Il n’est pas ici question de parler des causes mais des conséquences.
Qu’est-ce que les autres, ne voient pas ? Comment vit-on, comment survit-on après un traumatisme ?... Acceptation.
Cinq femmes, interprètent et suggèrent les différents aspects, les répercussions d’un traumatisme fort. Quelle réalité, quel quotidien, pour les femmes, et même les hommes, victimes d’un choc ? Comment ignorer ce qui arrive à notre fille, une amie, une voisine ?
Filles du calvaire, dans un enchaînement de disciplines artistiques, une mise en scène chorégraphiée, n’impose pas mais bouscule et emmène cette idée : si nous commencions par mieux protéger, par plus informer.
14 rue Plaisance 84000 Avignon