La puissance musicale et chorégraphique de Näss (Les Gens) de Fouad Boussouf emporte interprètes et spectateurs vers des sommets. À partir de 7 ans.
À partir de 7 ans.
Le directeur du Centre chorégraphique national du Havre se souvient de l’aura exceptionnelle du groupe musical Nass el Ghiwane, dans le Maroc des années 1970. Puisant aux sons traditionnels, ce groupe résonnait aussi avec la contestation populaire. N’y a-t-il pas une analogie avec le rôle occupé par le hip-hop des origines ?
Sur scène, sept danseurs masculins le disputent dans la maîtrise impressionnante d’une palette de techniques très diversifiée, chacun engagé dans sa singularité. Le chorégraphe a inspiré, et orchestré, une composition de groupe qui tient toujours en haleine. Ses combinaisons inépuisables ne veulent rien perdre d’une culture du pays d’origine (où Fouad Boussouf a voulu transporter la troupe pour une part du travail), tout en la vivifiant au bain des danses urbaines. Quelque chose d’un rite, d’une transe, imprègne ce tumulte sacré.
« Le merveilleux les prend tous, lutteurs, amants, ravers, breakdancers, prieurs. Dans leurs gestes, on trouve une même demande, une curiosité pour le corps, ses palpitations et ses sueurs. » Ludmilla Malinovsky, I/O Gazette
« Sur scène, sept hommes se fondent dans un bain de rythmes et de gestes traditionnels que le ciselé et la puissance physique emportent vers de nouveaux sommets. » Rosita Boisseau, Télérama TTT
« Les danseurs, incroyables, déploient une énergie folle et sensuelle à la fois. » Marie Pons, Mouvement
« Näss se déploie entre mysticisme et élan physique. » Véronique Vanier, CCÇ Danse
« Avec Nass, Fouad Boussouf signe ainsi une pièce chorégraphique fédératrice, puissante et généreuse. » Paris Art
« Chez Fouad Boussouf, la danse est un remède contre le désespoir. » Anaïs Héluin, Le courrier de l’Atlas
« Spectacle au souffle à la fois mystique et physique ». Corinne Nevès, Le Parisien
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