Garden-Party

• Spectacle hybride

Caricature d’une caricature, ce spectacle est une farce, féroce et grotesque qui tient aussi du cirque, de l’opéra et de la danse.

Après le monde de la finance, de la compétition et du pouvoir, la Compagnie n°8 poursuit son travail d’observation critique de la société contemporaine et s’intéresse cette fois à la bourgeoisie, l’aristocratie, la noblesse, les rentiers... Pendant une heure, vous voyagerez dans un autre monde, dans une autre galaxie où s’épanouissent l’insouciance, la béatitude et la flatterie mais également la bêtise humaine qui, elle, heureusement, ne reconnait ni les riches ni les pauvres.

Vous êtes cordialement invités à une soirée où vont s’épanouir la folie, l’absurdité et la bêtise. Un spectacle hybride où se croisent les Monty Python, Buster Keaton et Nadine de Rothschild !

Par la Compagnie N)8.

• La presse

«  Cette bucolique réception est une farce féroce et joyeusement outrancière, raillant les vertus et les convenances des nantis (...) Une anthropologie de l'insouciance, un drôle de cours de savoir-vivre, bien plus rigolo que ceux de la baronne, lorgnant du côté des Monty Python et de Tarantino, orchestré par le facétieux Alexandre Pavlata. » Thierry Voisin, Télérama TT

« Un cocktail féroce et joyeux. Du théâtre engagé, politique mais aussi loufoque » Femme Actuelle

«  Depuis les Chiens de Navarre, on n'avait pas vu des comédiens aussi fous et un spectacle aussi drôle et grinçant. Une expérience ultra-jouissive » Glamour

« Ovni théâtral. Une soirée complètement déjantée. Ce spectacle donne autant à rire qu'à réfléchir » Le Bonbon

« Le public est sorti sonné de cette expérience cathartique et jouissive » Les Dernières Nouvelles d'Alsace

« Ce spectacle est à mourir de rire !... A ne louper sous aucun prétexte. » La Provence

« Soignant l’art du contre-pied, chaque tableau pousse le spectateur à s’interroger sur un point : qui de la nature humaine ou du système sociétal est le plus un théâtre de la cruauté ? » L’Humanité

« La distinction des personnages, leur apparente légèreté n’a d’égale que leur cruauté ou leur violence gratuite. » Le courrier de l’ouest