Kodak revisite notre société selfisée dans une pièce cinématographique enveloppée d’un léger brouillard d’où émergent les icônes de la pop culture américaine, d’E.T. aux premiers pas de l’homme sur la Lune. Outre la scénographie somptueuse et la chorégraphie résolument originale du Norvégien Alan Lucien Oyen, la pièce portée par dix danseurs est une réflexion sur notre époque.
« Si la caméra vous aime, nous vous aimons. C’est aussi simple que ça. »
Kodak revisite notre société selfisée dans une pièce cinématographique enveloppée d’un léger brouillard d’où émergent les icônes de la pop culture américaine, d’E.T. aux premiers pas de l’homme sur la Lune.
Outre la scénographie somptueuse et la chorégraphie résolument originale du Norvégien Alan Lucien Oyen portée par dix danseurs du GöteborgsOperans Danskompani, la pièce est une réflexion sur notre époque où l’illusion vaut toujours mieux que la réalité. « Clic, clac, merci Kodak ! », tout peut être photographié ou filmé. Mais la représentation reflète la construction d’un monde imaginaire où il n’y plus lieu d’être.