Deux familles secouées par une soudaine tragédie. Constituée de souvenirs authentiques intégrés à une histoire fictionnelle, cette pièce vous accueille au cœur de l’intime.
À partir de 13 ans.
Je t'ai fait un dessin est un drame familial. Nous suivons le quotidien des familles Kervannec et Mondable, secoué par une soudaine tragédie : le suicide de Sophie. Cette dernière, la benjamine de la fratrie Mondable, aimait Philippe Kervannec un comédien passionné à l'histoire familiale chaotique. Sa disparition vient faire éclater les non-dits familiaux. Cette intrigue qui plane telle une ombre sur chaque scène se mêle au quotidien des personnages, influençant leur vie et notamment celle des enfants.
L’histoire se raconte en treize tableaux dans lesquels ces derniers sont centraux. Exposés au monde des adultes, ce sont leurs paroles, leurs sentiments et leurs réflexions sur la vie qui sont au premier plan. La pièce traverse dans un rythme poétique et nostalgique une diversité de thèmes : tantôt difficiles tels que la séparation des parents et l'échec scolaire, ou tendres, comme un premier émoi.
J'ai revu cette pièce avec une amie et j'y ai pris le même plaisir. Le jeu des acteurs a gagné en fluidité apportant un souffle de vie bienvenu. Quel plaisir de voir de jeunes comédiens talentueux.
Cette jeune troupe talentueuse restitue avec force et sobriété l'affrontement et la haine viscérale qui oppose 2 familles. Prise en tenaille du fait de son mariage avec un membre du "clan ennemi", une femme ni résistera pas. Mais bien des douleurs déchirent ces êtres en perdition : incommunicabilité - une enfant à la survie en suspend - alcoolisme... Tous les volets de cette errance commune sont brillamment représentés
Pour 2 Notes
J'ai revu cette pièce avec une amie et j'y ai pris le même plaisir. Le jeu des acteurs a gagné en fluidité apportant un souffle de vie bienvenu. Quel plaisir de voir de jeunes comédiens talentueux.
Cette jeune troupe talentueuse restitue avec force et sobriété l'affrontement et la haine viscérale qui oppose 2 familles. Prise en tenaille du fait de son mariage avec un membre du "clan ennemi", une femme ni résistera pas. Mais bien des douleurs déchirent ces êtres en perdition : incommunicabilité - une enfant à la survie en suspend - alcoolisme... Tous les volets de cette errance commune sont brillamment représentés
80, Allée Darius Milhaud 75019 Paris