Kibbutz Contemporary Dance Company - Asylum (Festival Paris l'été)

• Une œuvre d’une force exceptionnelle

Dans son oeuvre Asylum, Be’er examine des concepts tels que l’identité, l’extranéité, l’oppression, la discrimination, la domination, la liberté, l’appartenance, l’immigration, la patrie, la nostalgie et le foyer. Ces concepts sont pertinents pour tout être humain d’un point de vue existentiel, où qu’il se trouve dans le temps et l’espace. La quête d’un lieu identifié comme un foyer fait partie de l’expérience existentielle humaine. En relation avec le moment présent dans lequel nous nous trouvons, la réalité aborde des sujets liés à l’asile, car nous sommes tous témoins des millions de demandeurs d’asile qui fuient les guerres et les conflits à travers le monde, essayant de trouver un endroit où ils se sentiront en sécurité.

• Uga, Uga, extrait et traduction

Uga, Uga, une comptine israélienne populaire, est entendue en hébreu dans la bande sonore d’Asylum.

« Tourner autour du pot,
Nous tournons en rond,
En cercle toute la journée,
Jusqu’à ce que nous trouvions notre place.
Assis, debout.
Assis, debout.
Assis et debout.
Jusqu’à ce que nous trouvions notre place. »

• Presse

« Avec sa distribution éclectique de danseurs et sa sensibilité dynamique, KCDC caractérise le meilleur de la danse israélienne et se produit régulièrement dans les théâtres les plus respectés et dans les principaux festivals du monde entier. » Jerusalem Post - Alan Rosenbaum

« Une composition extraordinaire d'un artiste chevronné et d'un maître en composition. Le niveau technique de la compagnie est exceptionnel ! » Dance Today - Ruth Eshel - Mahol Akhshav-

« L’une des meilleures compagnies de danse moderne au monde ! Une expérience radicale, virtuose et magique ! » Ma’ariv

« Rami Be'er privilégie un langage de la danse moderne qui utilise l'entièreté du corps, langage auquel sa compagnie est particulièrement bien formée .../... Rami Beer réalise son geste dramaturgique à travers une chorégraphie d'une grande liberté .../... La performance engagée des danseurs et la pureté de la chorégraphie vous séduiront. » The New York Times - Jack Anderson