Elizabeth Czerczuk propose une création qui s'inspire librement du texte de Jon Fosse Rêve d'Automne.
Interprétée par trois comédiens-danseurs, cette pièce chorégraphique s'inscrit dans la grande tradition théâtrale polonaise d'un art total, sublimée par une musique originale de tango.
Dans cette adaptation, il ne reste que deux personnages : un homme et une femme. Aujourd'hui ils se retrouvent dans un cimetière où l'automne est venu poser ses marques, recouvrant le sol de feuilles mortes. Un huis-clos intense s'installe doucement entre ces êtres, dont les corps se parlent avec désir et force, leur révélant autant de cauchemars de mort que de rêves d'amour...
Avec le soutien de la SPEDIDAM
Un vaste plateau aux éclairages rasants et une salle plongée dans la pénombre alors même qu'on y entre. Déjà, les comédiens-danseurs sont à l'œuvre. Impression de mouvement perpétuel comme le mystère de la vie, un mouvement dans lequel on se retrouve soudain embarqué, comme malgré soi. Ils y donnent corps à une adaptation, à la fois théâtrale et chorégraphique, inspirée de la pièce du Norvégien Jon Fosse, "Rêve d'Automne". Une œuvre où les êtres survivent quand tout semble depuis bien longtemps mort en eux. Un monde où le désir brille encore d'un feu qui refuse obstinément de s'éteindre dans cette nuit déjà tombée. A cet égard, il faut voir l'étonnant tango final dansé avec la mort. Incantatoire et... lumineux. A voir et revoir, obstinément.
Belle expression théâtrale, musicale et corporelle
Pour 1 Notes
Un vaste plateau aux éclairages rasants et une salle plongée dans la pénombre alors même qu'on y entre. Déjà, les comédiens-danseurs sont à l'œuvre. Impression de mouvement perpétuel comme le mystère de la vie, un mouvement dans lequel on se retrouve soudain embarqué, comme malgré soi. Ils y donnent corps à une adaptation, à la fois théâtrale et chorégraphique, inspirée de la pièce du Norvégien Jon Fosse, "Rêve d'Automne". Une œuvre où les êtres survivent quand tout semble depuis bien longtemps mort en eux. Un monde où le désir brille encore d'un feu qui refuse obstinément de s'éteindre dans cette nuit déjà tombée. A cet égard, il faut voir l'étonnant tango final dansé avec la mort. Incantatoire et... lumineux. A voir et revoir, obstinément.
Belle expression théâtrale, musicale et corporelle
20, rue Marsoulan 75012 Paris