L’Affaire de la rue de Lourcine

• Une farce redoutable d’efficacité et de loufoquerie

L’Affaire de la rue de Lourcine ou comment le bourgeois Lenglumé se réveille un beau matin avec un inconnu dans son lit, une épouvantable gueule de bois, le soupçon d’être mêlé à un crime et la perspective embarrassante de témoins à faire disparaître ! En 21 courtes scènes fourmillant de répliques d’anthologie, les personnages de cette farce redoutable d’efficacité et de loufoquerie sont projetés dans un tourbillon de quiproquos atteignant des sommets d’absurde et de drôlerie.

Voilà déjà quelques temps que Jérémie Lippmann, jeune et talentueux comédien-metteur en scène, rêve de monter cette truculente « Affaire », attendant seulement l’occasion de réunir sur un même plateau des interprètes capables de porter haut les couleurs de cette farce redoutable d’efficacité et de loufoquerie. C’est aujourd’hui chose faite avec Yann Collette (ancien Pensionnaire de la Comédie Française et interprète fétiche d’Enki Bilal au cinéma), Christine Pignet (une habituée de la troupe de Jérôme Deschamps plus connue du grand public pour son interprétation de Madame Groseille dans La vie est un long fleuve tranquille), Pierre Berriau (savoureux garçon d’hôtel dans L’hôtel du libre échange au côté de Clovis Cornillac cette saison) et Alexandre Michel (acteur issu de la troupe de Théâtre du Soleil).

La Pépinière se réjouit que ces merveilleux acteurs aient accepté de délaisser un temps les plateaux des grands théâtres (Théâtre de l’Odéon, Théâtre National de la Colline, Comédie Française…) pour offrir chaque soir à partir du 19 décembre un peu plus d’une heure d’allégresse à ses spectateurs, en prêtant toute leur fantaisie à ce petit chef d’œuvre de drôlerie d’Eugène Labiche.

• La presse

« Un vaudeville ébouriffé et jubilatoire. » Pariscope

« Des acteurs exceptionnels » France Info

« Le cocasse rigoureux et l’absurdité grelottantes des répliques sont au rendez-vous. » Le Canard enchaîné

« Le quatuor de comédiens tire la pièce vers une folie douce qui fait tout entendre sans rien surcharger. Le plaisir que provoque l’Affaire de la rue de Lourcine est continu. » Libération