Il lui fallait les discothèques/Et bouffer au Kangourou/ Club alors je signais des chèques/Sans provision j’étais fou/Je suis l’homme à tête de chou/Moitié légume moitié mec.
Qui d’autre que Serge Gainsbourg pouvait imaginer pareille histoire et la développer sur toute la durée d’un album ? Interné dans une clinique psychiatrique, l’homme en question y ressasse son aventure fatale avec la belle Marilou pour laquelle il a claqué tout son fric et même plus, avant de la démolir dans un accès de folie à coups d’extincteur. Sorti en 1976, ce disque d’anthologie qui ne rencontra pas immédiatement le succès devient aujourd’hui une œuvre scénique.
Jean-Claude Gallotta lui rend hommage avec cette chorégraphie conçue autour d’une version nouvelle enregistrée par Alain Bashung. Il développe autour de cette histoire d’amour et de mort, à la fois sensuelle et ironique, amère et hallucinée, une chorégraphie envoûtante.
« Gallotta et ses danseurs ont depuis toujours l’art d’être aériens, légers et gais dans le désastre, de faire que les corps en mouvement, course et élévation perpétuelles, apportent une joie d’être et de vivre quand même. Ils sont douze en jean et chemise, parfois torse nu ou soutien-gorge de dentelle noire, à figurer à tour de rôle les héros du drame sanglant, à aimer l’amour et le sexe jusqu’à en mourir. » Fabienne Pascaud, Télérama
« L’Homme à tête de chou est l’accomplissement d’une promesse, d’un dialogue qui se perpétue avec l’absent. Et le timbre chaud de Bashung coule dans le récitatif avec aisance et respect. Plus tard sa voix de crooner country décolle et déchire sur Ma Lou Marilou. » Bruno Lesprit, Le Monde
« Gallotta délivre une danse qui, l’air de rien, joue sur les codes de la comédie musicale. Il y a bien une narration, des personnages et une danse qui s’appuie sur les rythmes de la partition. Mais Gallotta met tout cela à sa manière. Ses armes ce sont les suggestions et les images claires. » Ariane Bavelier, Le Figaro
« Indissociables, les deux mises en abyme du son et des corps recomposent L’Homme à tête de chou dans une poésie inédite. » Marc Besse, Les Inrockuptibles
Très bien
Très.bon spectacle mémoires de Serge Gainsbourg
12 DANSEURS ET DANSEUSES EN COMPLÈTE HARMONIE UNE BANDE SON SUBLIME . MERCI A EUX DEUX ET A LEUR MÉMOIRE QUE DU BONHEUR BRAVO ET SPÉCIAL FÉLICITATION A LA DANSEUSE AUX CHEVEUX BLONDS POUR LA JUSTESSE DE SON ÉVOCATION ET SA SENSUALITÉ TOUTE EN JUSTESSE
Une belle alchimie Gainbourg/Bashung, malgré une transition quelquefois un peu trop appuyée pour passer d'un épisode à l'autre, de beaux danseurs avec de l'énergie et de la personnalité.
Pour 7 Notes
Très bien
Très.bon spectacle mémoires de Serge Gainsbourg
12 DANSEURS ET DANSEUSES EN COMPLÈTE HARMONIE UNE BANDE SON SUBLIME . MERCI A EUX DEUX ET A LEUR MÉMOIRE QUE DU BONHEUR BRAVO ET SPÉCIAL FÉLICITATION A LA DANSEUSE AUX CHEVEUX BLONDS POUR LA JUSTESSE DE SON ÉVOCATION ET SA SENSUALITÉ TOUTE EN JUSTESSE
Une belle alchimie Gainbourg/Bashung, malgré une transition quelquefois un peu trop appuyée pour passer d'un épisode à l'autre, de beaux danseurs avec de l'énergie et de la personnalité.
Magnifique spectacle: de la part des danseurs la qualité technique et l'énergie se doublent d'une expressivité qui épouse l'émotion des musiques et de la voix de Bashung. Mise en scène époustouflante. Energie, émotion, poésie et érotisme au sommet.
très bon spectacle
Bel hommage un peu trop long pour les ellipses musicales au milieu du spectacle
2 bis, avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris