À peine ordonné prêtre, Romuald tombe follement amoureux d'une belle courtisane. Chaste le jour, ses nuits deviennent de plus en plus tourmentées… A partir de 12 ans.
A partir de 12 ans.
De tous les contes remarquables écrits par Théophile Gautier, La Morte amoureuse est certainement le plus étourdissant.
Reprenant avec une grande habileté les thèmes de la littérature fantastique en vogue au siècle précédent, le maitre du romantisme noir se joue des contraintes de l’espace et du temps pour raconter, non sans un certain humour, l’aventure fantomatique d’un prêtre fou d’amour et d’une femme qui n’est autre que la Mort en personne.
Après avoir été joué « seul en scène » cet été au festival d’Avignon, ce texte est repris aujourd’hui en duo. Marie-Cécile Gueguen et Cyril Bernaux interprètent magistralement cette histoire d’amour frénétique où se mêlent dans une troublante confusion chasteté et volupté.
Ce petit bijou de pièce, très caractéristique de son époque où l'ésotérique côtoyait le fantastique nous entraîne dans une fusion amoureuse passionnelle. Admirablement interprété par deux comédiens pris dans ce tourbillon, nos cœurs palpitent et nos âmes tressaillent devant cette union à fleur de corps et de sens.
Un bijou d'une lumineuse noirceur, deux fantastiques comédiens, une mort vampirique et un prêtre pas très malin, quoique.. Des décors hollywoodiens, jugez un peu : forêt ombrageuse, Palais vénitien (domesticité comprise), chevauchées d'enfer, cimetière lugubre, profanation de la tombe à se damner...décors ainsi ...un peu d'imagination que diable ! et puis deux comédiens fantastiques ! Sensualité et beauté vénéneuse , spiritualité, éternelle lutte entre le bien et le mal. L'instant d'éternité ! Vendre ou ne pas vendre son âme au..., marre de cette Nana la (la camarde)...la tentation est forte. Une pièce qui a du fond et pour cause et une forme d'enfer ! Deux comédiens qui savent nous transporter, nous "posséder", nous faire vivre l'instant, le matérialiser. Du théâtre en habits de lumière, c'est fabuleux ! Quand à la mise en scène...!
Pour 2 Notes
Ce petit bijou de pièce, très caractéristique de son époque où l'ésotérique côtoyait le fantastique nous entraîne dans une fusion amoureuse passionnelle. Admirablement interprété par deux comédiens pris dans ce tourbillon, nos cœurs palpitent et nos âmes tressaillent devant cette union à fleur de corps et de sens.
Un bijou d'une lumineuse noirceur, deux fantastiques comédiens, une mort vampirique et un prêtre pas très malin, quoique.. Des décors hollywoodiens, jugez un peu : forêt ombrageuse, Palais vénitien (domesticité comprise), chevauchées d'enfer, cimetière lugubre, profanation de la tombe à se damner...décors ainsi ...un peu d'imagination que diable ! et puis deux comédiens fantastiques ! Sensualité et beauté vénéneuse , spiritualité, éternelle lutte entre le bien et le mal. L'instant d'éternité ! Vendre ou ne pas vendre son âme au..., marre de cette Nana la (la camarde)...la tentation est forte. Une pièce qui a du fond et pour cause et une forme d'enfer ! Deux comédiens qui savent nous transporter, nous "posséder", nous faire vivre l'instant, le matérialiser. Du théâtre en habits de lumière, c'est fabuleux ! Quand à la mise en scène...!
80, Allée Darius Milhaud 75019 Paris