La cuisine

Clamart (92)
le 14 octobre 2001

La cuisine

Lieu d’évasion, de ressourcement, la cuisine est un endroit magique au sein duquel nombre de personnes sont parfois contraintes de se réfugier. Mais c’est aussi le théâtre d’aventures souvent cocasses que Catherine Langlage a souhaité nous faire partager par la danse et l’image, les deux se maria


Présentation
Compagnie Spid’Eka
La Presse

Lieu d’évasion, de ressourcement, la cuisine est un endroit magique au sein duquel nombre de personnes sont parfois contraintes de se réfugier. Mais c’est aussi le théâtre d’aventures souvent cocasses que Catherine Langlage a souhaité nous faire partager par la danse et l’image, les deux se mariant avec bonheur pour ouvrir une porte sur l’imaginaire et le rêve. La Cie Spid’éka travaille essentiellement sur la relation entre le corps et l’image, développant un travail chorégraphique où l’image devient un partenaire à part entière du danseur. Elle nous propose cette saison un tryptic à partir de trois espaces quotidiens : La cuisine, La salle de bains et La chambre (pièces présentées en mai prochain). Elle s’interroge à travers ces trois installations chorégraphiques sur nos gestes récurrents et la transposition virtuelle de ces actions banales. Comment la geôle quotidienne peut devenir une porte à l’imaginaire poétique ? Dans le cadre de la semaine du goût, le Centre socio-culturel du Pavé Blanc organisera un atelier cuisine le dimanche matin. Une dégustation suivra la représentation.

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Depuis sa création en 1990, Spid’Eka propose des écritures scéniques qui intègrent l’image à la danse. Le métissage des projections du corps et de l’image développe un nouveau regard, une nouvelle danse...
Catherine Langlade, chorégraphe, interprète et pédagogue, élève du C.N.D.C. d’Angers sous la direction d’Alvin Nikolais, ex-membre du groupe Lolita, dirige sa recherche chorégraphique et ses relations interactives par la rencontre avec des créateurs d’images. Sept créations danse-image ont vu le jour dont deux pour le jeune public.

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La chorégraphie joue une alchimie des corps. Pas de rupture, mais une ondulation aux accélérations retenues. La performance des danseurs n’y est pas donnée à voir, elle s’intègre subtilement aux gestes simples, à la poésie créée. (à propos de Ustranotte) Nov’art

Entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, mêlant poésie, brio et humour, elles se jouent à plaisir de tous nos sens pour nous entraîner dans un voyage fantasmagorique, des espaces intersidéraux à l’intérieur de nos cellules. La danse classique vous ennuie ? Le contemporain vous barbe ? Le jazz vous rase ? Ici, aucun risque : vous êtes à des milliers d’années lumières . L’écho des Savanes

“La porte jaune ou le corps révélateur” est une oeuvre forte, surprenante par les trouvailles dont elle est émaillée, par sa construction (suite de piécettes reliées entre elles par le jeu d’une sorte de magicien-illusionniste-acrobate-danseur), et surtout par son alliance avec les images fixes ou mobiles de Ghislaine Gohard. On retrouve enfin l’esprit de Lolita, allié de celui de Nikolaïs. Jean Marie Gourreau (à propos de La Porte Jaune ou le corps révélateur) - Les Saisons de la danse

Avec “Cybernies”, Catherine Langlade signe un spectacle insolite et simple, étrange et familier, révélant une nouvelle maturité de la chorégraphe. La recherche qu’elle mène depuis plusieurs années s’exprime ici avec évidence dans un univers délicat à mille nuances, sophistiqué sans complication, éclatant d’une vitalité douce. Florent Azziosmanoff - Nov’art (à propos de Cybernies)

Oeuvre étrange, insolite, parfois agressive, “Cybernies” est dans la lignée de « La porte jaune ou le corps révélateur”, elle aussi fondée sur le rapport cinétique et interactif du corps et de l’image. La chorégraphie est étroitement mêlée au travail de l’image, à la musique d’Eric Kramer et aux lumières d’Eric Wurtz : Elle est aussi magnifiquement servie par deux interprètes complices qui, chacune dans un rôle opposé, permettent la mise en balance de ses effets sur le spectateur. (à propos de Cybernies) - Télex Danse

Catherine Langlade explore les “faits des corps” dans une chorégraphie relayée par une réalisation vidéo astucieuse qui sait jouer des gros plans et des faux semblant pour visiter notre anatomie de façon inattendue. C’est plein d’idées amusantes.(à propos de Holocor et faits des corps) A. Izrine - Danser

Une oeuvre contemporaine qui méritait le détour. Articulée sous la forme d’une réflexion anatomique inattendue, elle entendait disséquer le corps sous toutes ses coutures pour mieux révéler le caractère ou le génie animal de l’homme. Tellement animal !...(à propos de Holocor et faits des corps) - Journal du centre

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Théâtre Jean Arp

22, rue Paul Vaillant-Couturier 92140 Clamart

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Théâtre Jean Arp
22, rue Paul Vaillant-Couturier 92140 Clamart
Spectacle terminé depuis le dimanche 14 octobre 2001

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